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·7 février 2025
FC Martigues – Hakim Malek avant la réception de l’ESTAC : « C’est une équipe de Ligue 1 en face »
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·7 février 2025
Après avoir gagné contre Amiens puis à Dunkerque, le FC Martigues se retrouve contre toute attente sur une vraie bonne dynamique en février 2025. Le club provençal, qui a gagné son premier match de la saison parmi ceux considérés à domicile, va tenter d’enchaîner lors de la venue de Troyes à Turcan. Une équipe qui sera peut-être amoindrie après avoir joué Brest en Coupe de France. Mais pour le coach Hakim Malek, arrivé il y a un peu plus de deux semaines, cette échéance est surtout la plus dangereuse des trois pour ses Martégaux. Celui qui loue l’imprévisibilité et les qualités intrinsèques de ses adversaires Troyens s’est exprimé en conférence de presse avant le multiplex de la 22e journée de Ligue 2.
« Ce match-là à Dunkerque, on y est allé avec une équipe dans une autre configuration, avec des absents qui ont leur importance dans la construction du jeu au-dessus de la ligne du milieu. On n’y est pas allés pas avec le même profil d’équipe, donc pas avec le même plan de jeu. Pour moi, Troyes est pourtant le match le plus compliqué à jouer des trois (depuis son arrivée sur le banc, NDLR.). Ça, c’est certain. C’est le match le plus compliqué car gagner peut être vite un poison pour les têtes. Entre l’état de peur que tu pouvais avoir auparavant, qui te permettait d’être tout le temps concentré et attentif, et celui d’une petite euphorie qui te permet de rêver alors qu’il ne faut pas rêver… La difficulté, elle va être là. »
« L’autre difficulté, c’est que c’est une équipe de Ligue 1 en face, avec des joueurs sur la ligne du dessus qui peuvent faire mal à n’importe qui. C’est une autre adversité. Ça ne sera pas un match simple. Aussi parce que l’équipe n’a pas un plan de jeu très lisible, s’appuie beaucoup sur des individualités, avec des talents sur ce couloir gauche qui font très mal. Il y a un garçon qui est un tireur de coups francs exceptionnel (M’Changama). Sur une erreur, sur un coup de pied arrêté, c’est un match que tu peux perdre à tout moment. Celui-là, il est complexe, car contenir des individualités ce n’est pas la même chose que contenir un collectif. On doit être prêts à imaginer l’imprévisible. »
Photo Anthony Bibard/FEP/Icon Sport