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Djibril Diop·10 février 2024
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Djibril Diop·10 février 2024
Du galon. Du talon d'Achille. En attendant le coup d'envoi de la finale de la CAN 2023, nous décortiquons les forces et faiblesses des deux finalistes.
- Manque de créativité au milieu de terrain (problème chronique)
- Un meneur de jeu (Alex Iwobi) intermittent et régressif dans ses prises de balle
- Problème de gestion des passes longues (en profondeur) dans le dos de la défense
- Victor Osimhen souvent éreinté dans le dernier quart d'heure à cause de sa débauche d'énergie (esseulé ? problème de gestion des efforts ?)
- Le latéral gauche Zaidu Sanusi trop discret dans ses projections aux avants-postes
- Entames de matches souvent compliquées (première demi-heure de jeu)
- Un milieu de terrain trop monocorde (trois relayeurs purs, manque de liant)
- Le gardien Yahia Fofana pas rassurant dans ses prises de balle (jeu aérien)
- Doutes sur la forme physique de Haller et Adingra (convalescence ?)
- Des remplaçants souvent léthargiques (Bamba, Pépé et Boga)
- Seko Fofana s'enflamme parfois (tirs lointains inopportuns)
- Capacité à ne pas encaisser durant les temps faibles (dos rond)
- L'activité sans relâche des deux latéraux (Ola Aina et Zaidu Sanusi)
- Le pressing incessant d'Osimhen pour pousser le défenseur à la faute
- Le fort leadership du capitaine Troost-Ekong
- Deux supersubs de luxe : Samuel Chukwueze et Terem Moffi
- Le coaching audacieux du novice Emerse Faé (Aurier, Sangaré et Kessié parfois remplaçants, Seko ne joue pas toujours les 90 minutes, insertion de Seri et Gradel dans le XI)
- La résurgence de Franck Kessié
- Les fulgurances de Seko Fofana pour créer des décalages
- Les débordements incisifs d'Oumar Diakité et Simon Adingra
- Le jeu aérien et dos au but (en déviation) de Sébastien Haller
- Les décibels dans les gradins