Franco Mastantuono est arrivé à Madrid | OneFootball

Il va falloir patienter encore quelques jours avant que Mastantuono ne devienne officiellement un joueur du Real Madrid. En attendant, l’Argentin est arrivé en Espagne.

Franco Mastantuono est arrivé ce samedi dans la capitale espagnole, avec un peu d’avance. Le jeune Argentin va devoir patienter encore quelques jours, jusqu’au 14 août, jour de sa majorité, pour pouvoir être officiellement présenté comme nouveau joueur de la Casa Blanca. C’est à cette date qu’il signera son contrat avec le club merengue, pour une durée de six saisons. Il pourra alors participer à son premier entraînement à Valdebebas, avec ses nouveaux coéquipiers.

Le transfert de Mastantuono a été officialisé le 13 juin dernier. Le Real Madrid a levé sa clause libératoire à River Plate pour un montant de 45 millions d’euros. À cela s’ajoutent 18,2 millions d’euros liés à la fiscalité, ce qui fait de lui le transfert le plus cher de l’histoire du football argentin.

"J'ai longtemps attendu ce jour"

Après avoir disputé la Coupe du Monde des Clubs avec River, le milieu offensif s’est offert quelques jours de repos avant de s’envoler pour l’Espagne. Il a atterri ce samedi en début d’après-midi à l’aéroport Adolfo Suárez Madrid-Barajas, en provenance de Buenos Aires. Avant son départ, le natif d’Azul, âgé de 17 ans, a confié : "Je suis très heureux, j'ai longtemps attendu ce jour. Je suis très content de voyager et d'être déjà à Madrid".

Interrogé sur la comparaison souvent faite avec Alfredo Di Stéfano, il a réagi avec beaucoup d’humilité : "Un grand joueur, une légende du football. J'ai dit que je voulais suivre ses traces, jouer à River puis partir à Madrid. Pour moi, c'est très beau de pouvoir suivre ce chemin et j'espère pouvoir faire la même chose que lui".

Concernant son futur numéro de maillot, Mastantuono a indiqué : "Je ne sais pas encore, je verrai quand j'arriverai". Et quand on lui a demandé s’il aurait aimé hériter du numéro 10, que portera Kylian Mbappé cette saison, il a répondu : "J’aurais bien aimé, mais s'il le prend, c'est son droit, c'est une idole".