Girondins : “Je vois mal la DNCG aller contre l'avis du Tribunal de Commerce” | OneFootball

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·28 janvier 2025

Girondins : “Je vois mal la DNCG aller contre l'avis du Tribunal de Commerce”

Image de l'article :Girondins : “Je vois mal la DNCG aller contre l'avis du Tribunal de Commerce”

Dans le Talk, le journaliste pour L’Équipe Laurent Crocis, a donné son sentiment avant le passage des Girondins devant la DNCG fédérale ce mardi. Il estime que l’instance de contrôle n'ira pas à l’encontre de la décision du Tribunal de Commerce qui vient de prolonger le redressement judiciaire du club de 6 mois supplémentaires.

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“J’ai échangé avec des membres du club, ils ne sont pas alarmistes” pour la DNCG"

Laurent Crocis dans le Talk sur WebGirondins : “Si on s'en tient à la décision du Tribunal de Commerce qui proroge de six mois le redressement judiciaire, je ne suis pas inquiet. Pour avoir échangé un peu bord terrain avec des membres du club, ils sont moyennement confiants, mais, pas alarmistes. Je vois mal la DNCG aller contre l'avis du tribunal de commerce. Je peux me tromper.”

“Ce qui peut poser question, c’est les 600000 euros à verser”

Il continue : “Mais, ce qui peut poser question pour cette instance de contrôle, c'est les 600 000 euros (Gérard Lopez doit les verser pour finir la saison selon Sud Ouest). Qui va les mettre, quand, comment ? Je rappelle que la DNCG, son but, c'est s'assurer que tous les concurrents sur la ligne de départ soient à la ligne d'arrivée sur le plan financier et ne mettent pas la clé sous la porte durant la saison. C'est le seul point d'interrogation.”

“La seule sanction qui peut tomber, c’est la rétrogradation à titre conservatoire dans la division inférieure”

Il rajoute : “Si je dois faire un pronostic, je pense que cela passera. La seule sanction qui peut éventuellement tomber sur les Girondins, c'est peut-être une rétrogradation à titre conservatoire dans la division inférieure. C'est ce qui a frappé Lyon. Peut-être que ces 600 000 euros vont pousser à cette décision-là. Donc, obliger le président propriétaire, actionnaire des Girondins de Bordeaux, Gérard Lopez, à les injecter.”

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