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·31 janvier 2025

Grégory Lorenzi (Brest) : "On ne peut pas se permettre de dire qu’on aurait aimé un autre tirage"

Image de l'article :Grégory Lorenzi (Brest) : "On ne peut pas se permettre de dire qu’on aurait aimé un autre tirage"

Grégory Lorenzi, le directeur sportif du Stade Brestois, a réagi au tirage au sort des barrages de la Ligue des champions face au Paris Saint-Germain.

C'est donc le Stade Brestois qui hérite du Paris Saint-Germain ! Ce vendredi 31 janvier, le club breton, véritable sensation de la saison en Ligue des champions, a découvert son prochain adversaire pour les barrages de la compétition en février. Et ce sera donc une confrontation avec les champions de France, qu'ils affronteront ... ce samedi 1er février en Ligue 1 (17h). "Déçu ? Non, on est très content d’être qualifiés pour les barrages et c’est que du plaisir pour nous, a réagi Grégory Lorenzi au micro de Canal+. C’est un exploit pour nous d’être là aujourd'hui. Le PSG, on les connaît. On aurait préféré jouer contre Benfica, mais on ne peut pas se permettre de dire qu’on aurait aimé un autre tirage. Il y a deux clubs français qualifiés pour les huitièmes donc c’est bien pour le championnat de France", a souligné au passage le dirigeant breton.


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"On a l'habitude de les jouer"

Et le PSG, "on a l'habitude de les jouer, a-t-il rappelé. Peu importe le tirage, on n’est pas favoris, on va jouer sans pression. On sera le petit poucet. On va les jouer à fond sans arrière-pensée et on va tout faire pour faire le meilleur match possible", a assuré Grégory Lorenzi, avant de conclure. "Cette compétition est particulière, nos joueurs se transcendent inconsciemment. On ne va rien changer par rapport à ce qu’on fait depuis le début de cette campagne. On va ajouter ce supplément d'âme. On a la chance de pouvoir les connaître et de pouvoir bien les analyser, par rapport à Benfica où on a moins d’informations. Il faut rester modeste par rapport à tout ça. On est déçu de ne pas connaître une autre ville européenne, c’est la magie de la Coupe d’Europe. Mais il faut l’accepter", a terminé le DS brestois.

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