Haaland est aussi fort que Cristiano Ronaldo, les chiffres parlent | OneFootball

Le Cyborg Norvégien a encore frappé ce soir au Santiago Bernabeu, en annihilant les espoirs des supporters madrilènes de voir leur équipe l’emporter contre les protégés de Pep Guardiola. Avec ce but inscrit sur penalty, l’international qui fera face aux Bleus en juin prochain lors de la Coupe du Monde entre dans un club ultra fermé grâce à une statistique XXL ;

Erling Haaland continue d’affoler les compteurs et confirme, une fois encore, qu’il évolue dans une dimension à part grâce à une statistique sortie par le compte X Statsdufoot. Nous ne sommes que le 10 décembre, et l’attaquant norvégien affiche déjà 34 buts toutes compétitions confondues, entre Manchester City et sa sélection nationale de la Norvège qui a survolé ses éliminatoires pour la Coupe du Monde 2026, grâce à son numéro 9 qui a planté 16 buts, soit 2 par match en moyenne. Un total exceptionnel, qui rappelle à quel point son rendement reste constant, quelle que soit la période de l’année ou l’adversaire en face car pour la Premier League, c’est la même histoire.

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Cette performance le place dans une catégorie très fermée, quasi inexistante même. Jamais, depuis Cristiano Ronaldo lors de la saison 2013/2014, un joueur issu d’un club du Top 5 européen n’avait atteint pareil total aussi tôt dans la saison. À l’époque, le Portugais avait lui aussi culminé à 34 réalisations au même stade du calendrier avec le Real Madrid, un record que Haaland égale aujourd’hui douze ans plus tard, preuve de la rareté du phénomène. Une performance que Lionel Messi n’a jamais accompli, s’il fallait une preuve de plus de la folie de cette statistique.

Avec une telle avance cette saison, l’attaquant de City laisse surtout imaginer ce que pourrait devenir sa saison si la dynamique se poursuit. Une machine à marquer (le surnom de Cyborg plus mérité que jamais), invariablement décisif dans le championnat d’Angleterre, Haaland confirme qu’il est bien l’un des joueurs offensifs les plus dominants de son époque. Didier Deschamps, s’il était devant sa télévision ce soir a dû se dire : «Pourvu qu’il se calme avant le mois de juin». Ce France – Norvège le 26 juin prochain à Boston lors du premier tour de la Coupe du Monde n’en sera que plus excitant.

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