Haise viré à Nice ? Le verdict est tombé ! | OneFootball

Après un nouveau fiasco face à Angers ce dimanche, Franck Haise connaît-il ses derniers moments sur le banc de Nice ? La réponse est tombée.

La question était de nouveau sur le tapis ce dimanche : Franck Haise allait-il être limogé après une septième défaite consécutive ? Le verdict est désormais officiel : non. Le président du Gym, Fabrice Bocquet, a coupé court à toutes les spéculations dans des propos relayés par RMC Sport. « La question du limogeage de Franck Haise ne se pose pas », a-t-il assuré après la nouvelle débâcle contre Angers (0-1). Et il insiste : « On continue tous ensemble ».

Malgré une crise majeure – stade hostile, boycott de supporters, effectif secoué par les agressions de Boga et Moffi – le club maintient sa ligne. « Cette semaine a été très difficile pour tout le monde… Il faut faire le dos rond. La dynamique n’est pas bonne mais on doit la retourner tous ensemble », estime Bocquet.

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Bocquet prône l'unité totale en interne

Face à une fracture interne profonde, le président niçois annonce la priorité : « recoller les morceaux en interne, puis avec l’environnement ». Haise, lui, ne cache pas son désarroi. « C’est la première fois que je connais ça », confie-t-il. Et surtout, il révèle avoir déjà proposé l’électrochoc ultime : « Pour l’électrochoc, je l’ai déjà proposé. Je ne vais pas me proposer toutes les semaines », sous-entendant qu’il avait offert sa démission. Mais ses dirigeants l’ont retenu.

Le coach redit que Nice ne s’en sortira qu’avec l’unité de tous. « On a besoin de tout le monde et que tout le monde aille dans le même sens ». Dans un stade clairsemé et sifflant, les joueurs ont tenté de montrer une forme de solidarité. Bocquet reconnaît que l’effectif souffre : « On a pu voir des liens qui n’étaient pas suffisamment forts », mais il place la responsabilité sur le terrain : « Au final, elle appartient aux joueurs ». Malgré la pire série de son histoire, Nice refuse donc le changement d’entraîneur. Le message est clair : Haise reste, et le club s’accroche à un seul mot d’ordre : traverser la tempête ensemble.

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