Henrik Meister : « Quand j’ai marqué, c’était comme si j’avais relâché la pression » | OneFootball

Henrik Meister : « Quand j’ai marqué, c’était comme si j’avais relâché la pression » | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Stade Rennais Online

Stade Rennais Online

·20 août 2024

Henrik Meister : « Quand j’ai marqué, c’était comme si j’avais relâché la pression »

Image de l'article :Henrik Meister : « Quand j’ai marqué, c’était comme si j’avais relâché la pression »

Buteur pour son premier match, le Danois était présenté à la presse cette semaine. Est-il possible de mieux commencer avec son nouveau club qu'en marquant un but au bout de (…)

Est-il possible de mieux commencer avec son nouveau club qu’en marquant un but au bout de 3 minutes ?


Vidéos OneFootball


(Rires) C’était un premier but, oui. En tout cas, depuis mon arrivée l’accueil a été chaleureux. J’ai été bien accueilli par l’équipe, les joueurs, le staff, tout le monde.

Albert Gronbaek, autre joueur danois, a t-il facilité ton intégration ici ?

Tout à fait, c’est un super joueur qui m’a un peu pris sous son aile quand je suis arrivé. C’est vrai que c’est quand même plus simple de savoir que j’ai un compatriote qui est là et que je peux échanger. C’est un facteur détendant.

Quelle image avais-tu du Stade rennais, de Rennes ou de la France ?

J’ai beaucoup visité la France depuis que je suis petit. Ma mère est camerounaise et parle français. Je comprends un peu. J’adore le pays, et je ne connaissais pas Rennes, mais j’ai vu un peu la ville et je l’aime déjà. C’est très cosy et je m’imagine bien me sentir à la maison ici.

Comment as-tu trouvé l’ambiance au Roazhon Park dimanche ?

L’ambiance au stade était incroyable. C’était un peu triste qu’il nous manque des supporters (l’absence du RCK, ndlr). Mais j’ai hâte de voir tous les supporters nous encourager ensemble. Quand j’ai marqué, c’était comme si j’avais relâché la pression et senti le poids retomber de mes épaules. C’était bien.

Comment définirais-tu ton registre d’attaquant ?

Le coach décidera. J’ai généralement plus un jeu en profondeur mais je peux aussi me dégager et avoir le ballon, le redonner rapidement. C’est ma manière de jouer.

Comment se passe l’adaptation dans un vestiaire grandement renouvelé et cosmopolite ?

Pour moi c’est fun (sourires). J’apprends plusieurs langues. Mon anglais est déjà bon, puis le norvégien maintenant, nous avons l’espagnol aussi, et le français bien sûr. Je suis sûr qu’on peut tous se parler d’un peu tout. Je comprends bien le français mais je ne le parle pas très bien. Ça ne devrait pas prendre trop de temps avant que je ne parle bien français.

Le championnat avait déjà commencé pour toi. Comment tu sens-tu physiquement ?

Je pense que c’est l’affaire du staff de savoir si je suis dans de bonnes conditions pour jouer 90 minutes sans que ce soit trop pour moi.

Est-ce qu’une saison si longue ne fait pas un peu peur pour un joueur ?

(Sourires) Non ! Je suis content d’être ici, j’ai hâte de pouvoir jouer et de montrer de quoi je suis capable.

Tu as connu plusieurs ces dernières années, la volonté est-elle de te stabiliser plus longtemps dans le même club à Rennes ?

Dans le football on ne sait jamais. Mon travail ici est de donner tout ce que je peux pour aider le club, les supporters. Il ne faut pas que je le fasse trop bien, sinon on pourrait me vendre (rires). Mais mon but est de jouer au niveau européen, donc l’idée est de rester ici.

À propos de Publisher