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·14 septembre 2024
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Malines a fait une super affaire en se faisant à son tour prêter Zinho Vanheusden. Reste à voir à quelle fréquence Besnik Hasi pourra compter sur lui.
Tim Matthys n'est pas peu fier d'avoir attiré Zinho Vanheusden derrière les Casernes. Le directeur sportif malinois a parfois été pointé du doigt pour ne pas mener un mercato assez proactif mais a su se montrer patient.
"J'ai déjà dit qu'il était difficile d'attirer ce genre de profils dès le début de la fenêtre de transferts", déclare l'ancien joueur du RAEC Mons au Laatste Nieuws. " Je savais par son agent (Stijn Francis, ndlr) que Zinho voulait relancer sa carrière dans un autre club".
Retourné à l'Inter, Vanheusden n'y disposait que de très peu de perspectives de temps. Mais comment un club en difficulté financière comme le KV a-t-il pu se permettre d'attirer un joueur de ce calibre et le contrat allant avec, surtout vu le risque que état son physique comporte ?
La réponse se trouve dans une clause négociée lors du prêt : "Nous avons élaboré une structure avec l'Inter selon laquelle Zinho ne nous coûte de l'argent que lorsqu'il joue. Il n’y a donc aucun risque financier associé à cet accord".
Le début de saison semble donner raison à la direction malinoise. Arrivé en manque de rythme, Vanheusden a joué un solide match contre le Standard mais s'est ensuite occasionné une hernie. "S'il est en forme, nous aurons un international. Lors du match au Standard, nous avons immédiatement vu à quel point Zinho pouvait être important pour nous".
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