« Il peut tout se passer », Kombouaré sur les 3 matches en une semaine | OneFootball

Le FC Nantes est de retour ce vendredi après une courte pause la semaine dernière. Avec ce week-end sans match, les hommes d’Antoine Kombouaré ont pu avoir une semaine complète de travail, point sur lequel l’entraîneur des Canaris a bien assisté lors de la conférence de presse.

Du bon travail et un groupe au complet

En plus d’avoir été dispensé de match, Antoine Kombouaré a pu retrouver un groupe quasiment au complet. Une situation qui ne peut que plaire au coach kanak. « On a du monde à l’entraînement, donc on est obligé même à l’entraînement de sélectionner, et surtout, on voit la qualité des séances qui est bien meilleure », expliquait-il. « On sent que dans les séances il y a beaucoup plus d’intensité, de qualité », continuait-il.

Pour autant, il ne s’emballe pas malgré les choses prometteuses vues à l’entraînement. « Il faut que cela se voie en termes de résultat, en termes d’efficacité. Ce sont les matches qui vont nous donner des indications bien plus précises sur la valeur du groupe », nous avouait Kombouaré.

Les progrès ne sont d’ailleurs pas forcément que techniques. « Je mets aussi beaucoup l’accent sur le mental », expliquait-il. Il donne d’ailleurs à ses joueurs un objectif très clair. « L’objectif pour nous d’aller chercher les points du maintien le plus vite possible », continuait-il.

Une semaine à 3 matches qui s’annonce rude

Travailler autant et aussi bien était nécessaire avant d’aborder une semaine aussi complète. « Qui dit 3 matches dit qu’on va peu s’entraîner », développait l’entraîneur. « C’est bien de faire un petit rappel sur le plan physique, sur le plan tactique. Parce qu’il y a des échéances très importantes », indiquait Kombouaré.

« Non, non, je n’ai pas hâte », avouait-il sur cette semaine et cette fin de saison. « On se prépare à être en difficulté, à souffrir, mais à aller chercher les points », affirmait l’entraîneur. « Je connais trop le foot, il peut tout se passer », expliquait le Kanak.

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