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·18 octobre 2025

Inter Milan – AS Rome : le but qui a tout fait basculer

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Six minutes. C’est tout ce qu’il a fallu à Ange-Yoan Bonny pour faire taire le Stadio Olimpico. Ce vendredi soir du 18 octobre 2025, l’Inter Milan est venu s’imposer 1 à 0 sur la pelouse de la Roma, dans un match qui ressemblait davantage à un combat de boxe qu’à une rencontre de football. Quarante-sept fautes, huit cartons jaunes et un seul but : bienvenue en Serie A, où chaque point compte double.

Le match : quatre-vingt-dix minutes de bagarre pour un seul but

Le coup d’envoi a été donné à 20h45, heure italienne, soit 19h45 en France. Les deux équipes, à égalité avec quinze points avant la rencontre, jouaient pour s’emparer seules de la tête du championnat. Ange-Yoan Bonny n’a pas attendu. À la sixième minute, l’attaquant de l’Inter récupère le ballon côté droit, crochète, puis frappe. Mile Svilar, le gardien de la Roma, ne peut rien faire. Le ballon finit au fond. L’Inter mène 1-0, et ce sera le score final.

Le reste du match a été une véritable bataille. La Roma a eu le ballon, avec 57 % de possession, mais n’a jamais réussi à percer la défense milanaise. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : vingt-neuf fautes commises par la Roma, dix-huit par l’Inter. L’arbitre, Davide Massa, a sorti huit cartons jaunes au total. Même Tommaso Baldanzi a été averti pour avoir manqué le ballon et percuté Piotr Zielinski en fin de rencontre. Ce duel intense a montré deux équipes prêtes à tout pour ne pas céder un mètre.


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Les héros et les fantômes de la soirée

Ange-Yoan Bonny a été l’homme du match. Son but, inscrit dès la sixième minute, offre trois points et la première place à l’Inter. Un exploit pour un jeune joueur encore en apprentissage du très haut niveau. Dans les buts romains, Mile Svilar a longtemps retardé l’échéance. Auteur de cinq arrêts décisifs, il a évité une défaite plus lourde à son équipe. Henrikh Mkhitaryan, côté milanais, a lui aussi brillé, trouvant même le poteau sur une frappe superbe qui aurait pu tuer le match.

À l’inverse, Paulo Dybala a déçu. Annoncé comme le meneur et l’atout offensif numéro un de la Roma, il n’a jamais pesé sur la défense de l’Inter. Remplacé en seconde période, il est sorti sous les sifflets d’un public frustré.

Les compositions : deux systèmes, deux philosophies

Cristian Chivu, l’ancien défenseur devenu entraîneur de l’Inter, a opté pour un 3-5-2 classique. Yann Sommer gardait les buts, protégé par Bastoni, Acerbi et Akanji. Au milieu, Dimarco et Dumfries occupaient les couloirs, tandis que Mkhitaryan, Calhanoglu et Barella composaient l’axe. En attaque, Bonny épaulait Lautaro Martinez.

En face, Gian Piero Gasperini, désormais sur le banc de la Roma, a choisi un 3-4-2-1. Svilar gardait la cage, soutenu par N’Dicka, Mancini et Hermoso. Le milieu était formé de Wesley, Koné, Cristante et Celik, tandis que Pellegrini et Soulé épaulaient Dybala en pointe. Marcus Thuram était forfait côté Inter à cause d’un problème à la cuisse. À la Roma, les absences de Saelemaekers et d’El Shaarawy se sont également fait sentir.

Le classement : un trio en tête

Après ce succès, l’Inter rejoint Naples et la Roma en tête du classement avec quinze points, mais prend la première place grâce à une meilleure différence de buts. Naples, champion en titre, reste dans le sillage des Nerazzurri, tandis que la Roma, malgré la défaite, conserve ses chances. Derrière ce trio, l’AC Milan suit avec treize points, et la Juventus complète le top cinq avec douze unités. Trois équipes à égalité après sept journées, c’est assez rare, et cela promet une Serie A des plus disputées.

Un record historique pour l’Inter

Ce succès confirme la domination de l’Inter à Rome. Le club milanais devient la première équipe de l’histoire à remporter cinq matchs consécutifs dans la capitale italienne, avec un total impressionnant de onze buts marqués contre seulement deux encaissés. Un record qui en dit long sur la solidité et la constance des Nerazzurri, visiblement insensibles à la pression du Stadio Olimpico.

Où voir le match : les options TV

Pour les fans français, la rencontre était diffusée sur beIN Sports, qui reste le diffuseur principal de la Serie A en France. Les abonnés ont pu profiter d’une qualité HD ou 4K selon leur formule, avec des commentaires précis et passionnés. L’abonnement varie entre quinze et trente euros par mois.

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L’analyse tactique : pourquoi l’Inter a gagné

Le plan de Cristian Chivu était limpide : marquer tôt et verrouiller le match. Mission accomplie. Son 3-5-2 a parfaitement neutralisé le 3-4-2-1 de Gasperini. Au milieu, Calhanoglu a dicté le tempo, soutenu par un Barella omniprésent. Dimarco et Dumfries ont muselé les couloirs, empêchant Wesley et Celik de monter. Résultat : la Roma a eu la possession, mais rarement les solutions.

Côté romain, le jeu était trop prévisible. Gasperini misait sur Dybala et Pellegrini pour animer l’attaque, mais les deux ont été bien contenus. Acerbi a collé Dybala comme son ombre, tandis que Pellegrini n’a jamais trouvé d’espace. En fin de compte, la Roma a abusé des centres, sans véritable danger.

Les statistiques le confirment : quinze tirs pour l’Inter, douze pour la Roma, mais un seul cadré côté romain. Les Milanais ont eu quatre grosses occasions contre une seule pour leurs adversaires. Une efficacité clinique, qui fait la différence dans ce genre de matchs.

L’ambiance : un Stadio Olimpico incandescent

Près de 70 000 spectateurs avaient rempli le Stadio Olimpico. Les tifosi romains ont chanté sans interruption, déployant drapeaux, fumigènes et tambours pour pousser leur équipe. Même menée, la Roma a pu compter sur un public incandescent jusqu’à la dernière minute.

Les supporters de l’Inter, moins nombreux mais bien présents, ont savouré chaque instant après le but de Bonny. Et ironie du sort, Cristian Chivu, légende de la Roma en tant que joueur, a été à la fois sifflé et applaudi lorsqu’il est apparu sur le bord de la pelouse. Une scène typiquement italienne, entre passion et respect.

Les conséquences : la course au Scudetto est lancée

Avec trois équipes à égalité en tête, la Serie A s’annonce haletante. L’Inter, fort de cette victoire, prend un avantage psychologique sur ses rivaux. Naples reste solide, tandis que la Roma a prouvé qu’elle pouvait tenir tête aux gros calibres. Derrière, Milan et la Juventus suivent à courte distance, et même des équipes comme l’Atalanta ou Bologne, avec dix points, peuvent encore rêver.

Les prochaines journées s’annoncent cruciales : le 25 octobre, Naples recevra l’Inter dans un choc au sommet, tandis que la Roma se déplacera à Sassuolo le 26, un match piège par excellence. Le même jour, la Lazio et la Juventus s’affronteront dans un derby de prestige. Ces rencontres pourraient déjà donner le ton de la saison.

Les paris et les cotes : un championnat ouvert

Les bookmakers, eux, ne savent plus où donner de la tête. Avant ce match, l’Inter restait le favori pour le titre, coté à 2,75. Naples suivait à 3,00, devant la Juventus à 7,00, l’AC Milan à 10,00 et la Roma à 12,00. Autant dire que tout reste ouvert. Les sites spécialisés proposent des bonus intéressants, mais le mot d’ordre reste le même : ne jamais miser plus que ce que l’on peut se permettre de perdre.

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Les joueurs à suivre

Côté Inter, plusieurs hommes se distinguent depuis le début de saison. Lautaro Martinez a déjà inscrit trois buts et délivré une passe décisive en six matchs, tandis que Federico Dimarco s’impose comme le meilleur créateur d’occasions de Serie A avec onze passes clés. Nicolo Barella, de retour de blessure, apporte son intensité habituelle au milieu.

À la Roma, Matias Soulé confirme match après match son potentiel, tandis que Lorenzo Pellegrini devra rapidement élever son niveau pour relancer l’équipe. L’Ukrainien Artem Dovbyk, lui, ne demande qu’à être mieux servi pour exploser.

La Serie A est de retour

Ce Roma–Inter du 18 octobre 2025 a montré que le championnat italien vit une renaissance. Fini le temps où la Juventus régnait sans partage. Aujourd’hui, trois équipes se battent à armes égales, les matchs sont disputés, les stades pleins et la tension palpable. L’Inter a prouvé qu’on pouvait gagner sans briller, la Roma qu’elle n’était pas loin du niveau des meilleurs, et Naples attend patiemment son heure.

Pour les amateurs de football, c’est le moment idéal pour suivre la Serie A. Les diffusions sont accessibles, le jeu est redevenu passionnant, et les stars sont là — Lautaro, Dybala, Pulisic, Modric, et bien d’autres. Le calcio italien, avec sa ferveur et sa tactique, n’a jamais été aussi vivant.

Un but, un seul, a suffi pour tout faire basculer. Et cette victoire de l’Inter, dans l’antre romaine, restera comme l’un des grands moments de cette saison 2025-2026.

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