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·24 juillet 2025

« Je n’avais pas peur pour ma sécurité », Figo revient sur son transfert au Real Madrid

Image de l'article :« Je n’avais pas peur pour ma sécurité », Figo revient sur son transfert au Real Madrid

Il y a tout juste 25 ans, Luis Figo signait au Real Madrid en provenance du FC Barcelone, déclenchant l’un des transferts les plus brûlants de l’histoire du football. À l’occasion de cet anniversaire, l’ancien international portugais et nouveau visage de Betfair en Espagne revient sur cet épisode historique qui a bouleversé le football espagnol, cristallisé les tensions entre les deux géants et marqué sa carrière à jamais.

Le 24 juillet 2000, Luis Figo est officiellement présenté comme joueur du Real Madrid. Une date devenue historique. En quittant le Barça pour rallier la capitale espagnole après le paiement de sa clause libératoire (environs 60 millions d’euros actuels), l’ailier portugais marque un tournant dans l’histoire du football moderne, inaugurant l’ère des transferts ultra-médiatisés.


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Devenu la figure centrale du projet galactique de Florentino Pérez, Figo s’apprête alors à entrer dans une dimension qui dépasse le simple cadre du terrain.

  1. À lire également : Il y a 25 ans, le transfert de Figo bouleversait le football espagnol

Figo, de héros à traître

Ce transfert n’a jamais cessé de résonner. Dès ses premières apparitions sous le maillot madrilène, Figo est conspué par ceux qui l’avaient érigé en idole. Notamment lors des Clásicos au Camp Nou, devenus un théâtre de haine pure. L’image d’une tête de porc lancée sur la pelouse reste gravée dans la mémoire collective. Figo, lui, s’en souvient sans détours :

« Je n’avais pas peur pour ma sécurité physique. Mais je craignais toujours qu’un événement extra-sportif puisse se produire. Un imprévu est toujours possible dans ce genre de climat. Moi, je venais pour jouer au football, rien d’autre. » a-t-il- souligné rapporte AS.

Pourtant, quelques années plus tôt, Figo était une idole du Barça, porté en triomphe lors des célébrations de la Liga. L’un de ses moments les plus célèbres reste ce chant provocateur lancé depuis le balcon du palais de la Generalitat : « Blancs, pleurnichards, félicitez les champions ! » Aujourd’hui, l’ancien ailier dédramatise : « C’était une blague. Cette saison-là, nous avions gagné la Liga, et le Real se plaignait du fait que nous étions toujours favorisés. C’est devenu une anecdote, rien de plus. » a-t-il rajouté.

Djamel Bennacer

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