Jean-Christophe Thouvenel : “Que Bordeaux me mette à l’essai ? Ils ont dû entendre parler de moi comme un joueur ayant des qualités, mais aussi un hurluberlu, un éleveur de chèvres…” | OneFootball

Jean-Christophe Thouvenel : “Que Bordeaux me mette à l’essai ? Ils ont dû entendre parler de moi comme un joueur ayant des qualités, mais aussi un hurluberlu, un éleveur de chèvres…” | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·2 octobre 2025

Jean-Christophe Thouvenel : “Que Bordeaux me mette à l’essai ? Ils ont dû entendre parler de moi comme un joueur ayant des qualités, mais aussi un hurluberlu, un éleveur de chèvres…”

Image de l'article :Jean-Christophe Thouvenel : “Que Bordeaux me mette à l’essai ? Ils ont dû entendre parler de moi comme un joueur ayant des qualités, mais aussi un hurluberlu, un éleveur de chèvres…”

Dans Le Podcast des Légendes, l’ancien latéral droit des Girondins de Bordeaux, Jean-Christophe Thouvenel, s’est remémoré sa signature en Gironde. Ce ne fut pas une signature ordinaire, puisqu’il fut d’abord mis à l’essai pendant quinze jours. Au final, il signa au bout de trois.

« Ils ont dû entendre parler de moi comme un joueur ayant des qualités, mais que j’étais un hurluberlu, un éleveur de chèvres… Donc ils se posaient la question de savoir si ça pouvait coïncider. Après, j’en ai discuté avec Didier Couécou, et c’était ça… Les bruits qu’il avait entendus, faisaient qu’il y avait un petit doute. Mais quand il m’a vu, et en discutant avec moi… Et puis, j’avais quand même des qualités fortes, des qualités de base, donc il y avait certainement quelque chose à faire, comme il cherchait un joueur un peu polyvalent à l’époque ».

Il n’est pas arrivé tout seul à Bordeaux mais accompagné, lui qui vivait en communauté depuis l’âge de 16-17 ans.


Vidéos OneFootball


« Pour aller à Bordeaux, j’ai fait une sélection, et on est partis à plusieurs… J’en ai parlé avec eux car quand je suis revenu à Genève, j’ai retrouvé ma maison, et on a discuté de ce qu’on pouvait faire, quel était l’avenir… Je ne dis pas que ça a été mis au vote, mais on en a un peu discuté. Et quand les choses se sont confirmées… Il y en a qui sont venus avec moi, d’autres qui sont restés à Genève, et puis d’autres qui sont partis en Italie ».

À propos de Publisher