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·12 novembre 2025

"Jenni était mon amie" ... Les nouveaux propos fracassants de Rubiales sur Hermoso

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Luis Rubiales, l'ancien président de la Fédération espagnole, est revenu sur la fameuse affaire du baiser avec Jenni Hermoso après la finale de la dernière Coupe du monde entre l'Espagne et l'Angleterre.

Ce n'est un secret pour personne, Luis Rubiales est dans la tourmente depuis la victoire de l'Espagne à la Coupe du monde 2023 et son baiser sur Jenni Hermoso. Présent sur le plateau d'El Chiringuito cette nuit, l'ancien président de la Fédération espagnole est bien évidemment revenu en long et en travers sur cet épisode.


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"C'était une erreur, je n'ai pas bien agi. De là à tout ce qui s'est passé, les choses ont été déformées, poussées à l'extrême… avec certains intérêts particuliers. C'est plus que ce que je méritais. Je maintiens mes propos. Je m'excuse, je m'excuse encore. En tant que président, j'aurais dû être plus calme, plus professionnel. Je ne m'excuse pas auprès de Jenni Hermoso parce que je le lui ai demandé et qu'elle a dit « d'accord »." a-t-il commencé.

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Rubiales dément toute agression sexuelle

Pas de quoi pour autant qualifier cela d'agression sexuelle : "Jenni et moi savons que ce que dit le jugement est faux. Je ne vais pas changer mon témoignage initial comme elle l'a fait. C'était un baiser sous le coup de l'émotion, sans aucune connotation sexuelle. Jenni était une bonne amie, elle a raté un penalty… elle nous a beaucoup aidés à reconstruire l'équipe. Jenni était mon amie."

Il a ensuite poursuivi : "Oui, j'ai fait appel de la sentence. Lorsqu'une sentence est prononcée, nous avons tous l'obligation de la respecter. Nous estimons qu'il ne s'agit pas d'une agression sexuelle et nous avons le droit de faire appel. La peine a été modifiée de manière disproportionnée. On l'a qualifiée de "baiser non consenti". L'audience est actuellement suspendue."

Une chasse à l'homme selon lui

Pour lui, il ne s'agit nullement d'un crime : "L'affaire doit être portée devant la Cour suprême. Il doit y avoir intention sexuelle dans le baiser. Cela doit être clairement défini dans la sentence. Nous avons des arguments pour affirmer qu'il y a eu un acte répréhensible, mais pas un crime" a-t-il clamé, lui qui a notamment sorti un livre nommé "Killing Rubiales".

Enfin, il a conclu en affirmant avoir été victime d'une pression politique : "J’ai immédiatement constaté une réaction de l’extrême gauche dans ce pays. Un changement de discours instantané. Pedro Sánchez avait besoin du soutien des séparatistes pour prêter serment et il devait leur accorder l’amnistie. Il était donc dans son intérêt de parler d’autre chose. C’était un écran de fumée. Des médias largement financés par la Ligue m’ont attaqué. J’ai vu que l’extrême gauche, avec son hypocrisie habituelle qui consiste à dramatiser un problème mineur… elle me visait clairement."

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