La vérité de Di Maria dure à avaler pour les supporters du Real Madrid : « J’avais peur qu’on blesse le « nain » » | OneFootball

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·19 novembre 2024

La vérité de Di Maria dure à avaler pour les supporters du Real Madrid : « J’avais peur qu’on blesse le « nain » »

Image de l'article :La vérité de Di Maria dure à avaler pour les supporters du Real Madrid : « J’avais peur qu’on blesse le « nain » »

Ángel Di María a remporté tous les titres majeurs qu’un footballeur puisse gagner. Joueur très sous-côté, son apport a été déterminant pour que le Real Madrid puisse obtenir la tant désirés Décima en 2014.

Avec le Real Madrid, il a pris part à tous les Clásicos, dont ceux de 2010 à 2012, alors que Pep Guardiola entraînait le FC Barcelone. Au total, il aura joué 14 Clásicos. Il sait donc parfaitement à quel point ces affrontements étaient électriques, surtout lorsque Mourinho était sur le banc du Real Madrid.


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  1. À lire aussi : Le Real Madrid et le Barcelone se disputent une jeune petite espagnole

Di María reconnaît que l’objectif de faire sortir le Barça de leur match en mettant des coups

Dans une récente interview, relayée par Relevo, Di Maria est revenu sur ces derniers : « La seule façon de battre Barcelone était de mettre des coups, de marquer et de courir plus qu’eux. Et cela les a amenés, d’une manière ou d’une autre, à « faire dessus » sur le terrain. Parfois, j’avais peur que le « nain » soit blessé. J’étais plus inquiet qu’il ne lui arrive rien qu’autre chose », en faisant référence à Messi.

L’Argentin est également revenu sur la fameuse finale de Copa del Rey en 2011 à Mestalla. Lors de celle-ci, il avait délivré la passe décisive pour le but victorieux de Cristiano Ronaldo en prolongations : « Le match à Mestalla a été très difficile. Cette finale s’est jouée sur des coups de pied et des coups de pied. À un moment donné, j’ai dû donner un coup de pied à Leo, qui partait en contre. Je l’ai ramassé et je lui ai dit : « Désolé, petit, mais si je ne t’avais pas mis à terre, ils auraient pu marquer un but contre nous ».

Gjon Haskaj

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