L’ASSE en danger pour Stassin, une recrue à Angers, Lille rattrapé par l’affaire Osimhen | OneFootball

Alors que l'ASSE voit du lourd arriver sur Lucas Stassin et qu'une recrue est annoncée à Angers, Lille voit resurgir l'affaire du transfert de Victor Osimhen.

L’ASSE vit des heures incertaines autour de son joyau Lucas Stassin. L’attaquant belge de 20 ans, auteur d’une saison 2024-2025 brillante avec 12 buts et 4 passes décisives, attire désormais les convoitises de l’AS Roma. Selon RomaPress, le club italien, sous la houlette de Gian Piero Gasperini, cherche à renforcer son attaque dès le mercato hivernal et voit en Stassin un profil idéal : jeune, percutant et doté d’un vrai sens du but.

Ce regain d’intérêt place les Verts face à un dilemme. En pleine lutte pour retrouver la Ligue 1, l’ASSE pourrait difficilement se priver de son meilleur élément offensif. Cependant, une offre conséquente venue de Serie A aurait de quoi faire réfléchir les dirigeants stéphanois.

Pendant ce temps, du côté d’Angers, le SCO se renforce avec l’arrivée du Marocain Amine Sbaï. Libre après son passage à Al-Fateh en Arabie saoudite, où il a signé 5 buts et 4 passes décisives en 26 matches, l’attaquant de 24 ans rejoint le club angevin jusqu’en 2027.

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Son recrutement, autorisé hors période de mercato en raison de son statut de joueur libre, vise à pallier la stérilité offensive du SCO, lanterne rouge en attaque avec seulement 3 buts en 7 journées. Passé par Grenoble en Ligue 2, Sbaï découvrira pour la première fois la Ligue 1 et pourrait être aligné dès la reprise contre Monaco.

Enfin, le LOSC voit resurgir le spectre du transfert controversé de Victor Osimhen vers Naples en 2020. La Repubblica a révélé de nouveaux échanges compromettants impliquant Gérard Lopez, ex-président du club nordiste. Les documents suggèrent un montage financier artificiel destiné à gonfler artificiellement les valeurs de joueurs secondaires inclus dans la transaction, afin de réduire le coût réel du transfert de l’attaquant nigérian.

Des messages internes évoquent même la nécessité de « ne laisser aucune trace ». Le procès, prévu pour le 6 novembre, pourrait raviver une affaire qui ternit encore l’image du LOSC, déjà marqué par la gestion trouble de cette période.

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