L'ASSE, la "vieille piquette se transforme en nectar divin" | OneFootball

L'ASSE a disputé ce samedi son premier match de l'année 2025. Sous les ordres d'Eirik Horneland, les Verts ont retrouvé des couleurs avant leur déplacement au Parc des Princes la semaine prochaine. Dans sa chronique pour Le Progrès, Patrick Guillou revient sur cette rencontre et met en lumière certains aspects marquants.

En lisant les diverses réactions des supporters, il est évident que les 90 premières minutes d'Eirik Horneland sur le banc stéphanois ont particulièrement plu. Cela semble être également l'avis de Patrick Guillou : "Baptême du feu réussi. Surprenant. Sensationnel. Première fantastique. Début prometteur. Métamorphose remarquable. Électrochoc salvateur. Pluie de compliments."

Des ambitions claires pour les Verts

L'objectif est clair pour les Stéphanois : assurer rapidement leur maintien tout en proposant un jeu séduisant. Bien que le mercato n'ait pas encore commencé, ce premier match a apporté son lot de changements. Et quel match ! Les supporters ont assisté à une rencontre particulièrement agréable à suivre : "Transformer une vieille piquette qui tache en un nectar divin. Après les fêtes, face à Reims, c'est football champagne pour tout le monde."

Un style de jeu transformé pour l'ASSE ?

S'il y a bien un point à souligner, c'est l'état d'esprit affiché par les joueurs. L'ASSE a montré une grande concentration tout au long de la rencontre pour répondre aux exigences de son nouveau coach : "Caractérisé par des actions créatives, des passes audacieuses, des gestes techniques et des enchaînements rapides. King Eirik privilégie le beau jeu au-delà de la simple victoire. L’attitude positive balaie d’un revers de main les approximations et les faiblesses."

Certains joueurs ont semblé totalement métamorphosés. Si la première mi-temps a été compliquée sur le plan de la finition, la deuxième a révélé un tout autre visage de l’équipe.

"Fluidité, transitions, mouvements coordonnés, jeu en triangle… [...] Nadé se transforme en Ronaldinho. Stassin en Ronaldo. Mouton en Zidane et Bouchouari en Messi. Et ce n’est que le début. [...] Tout le monde sort conforté de ses choix. Satisfaction générale. [...] Avec cette belle expérience positive, la confiance est au zénith avant les prochaines échéances."