Le mercato terminé au Real Madrid, 4 arrivées et 5 départs | OneFootball

Le Real Madrid a officiellement mis fin à son mercato, l'occasion de faire un point sur l'été agité vécu par les Merengue pour restructurer l'effectif.

Le rideau tombe. Alors que la Liga vit ses dernières heures de mercato, du côté de Valdebebas, le calme règne déjà. Pas de coups de théâtre de dernière minute, pas d’opération surprise, le Real Madrid a officiellement fermé la porte aux arrivées comme aux départs. Une décision assumée par la direction madrilène, qui trace une ligne claire jusqu’au prochain marché hivernal.

Les Merengue n’ont pas attendu le gong final pour faire ses emplettes. Dès juin, Florentino Pérez et son équipe dirigeante avaient établi une feuille de route précise, sans se laisser emporter par la valse des rumeurs. Un mercato ciblé, avec des renforts jugés stratégiques plus que spectaculaires et pour la plupart prévus de longue date.

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Une défense renforcée

Quatre noms sont venus renforcer l’effectif de Carlo Ancelotti : Dean Huijsen, Alvaro Carreras, Franco Mastantuono et Trent Alexander-Arnold. Pas d’excès, mais un recrutement pensé pour s’adapter aux échéances majeures de la saison, en axant cela sur une défense aux abois l'an dernier sous Carlo Ancelotti.

Les feuilletons avortés

Comme souvent, l’été madrilène a été animé par des rumeurs. Dani Ceballos, par exemple, a frôlé la sortie. L’Olympique de Marseille tenait un accord, il ne manquait plus que la signature. Mais au dernier moment, le milieu andalou a choisi de rester. Conséquence : l’opération de remplacement préparée en coulisses n’a jamais été déclenchée.

Titulaire face à Majorque, Ceballos a montré qu’il comptait encore et qu’il pouvait retrouver la confiance du public. Même scénario pour Rodrygo, dont le nom a circulé avec insistance dans la rubrique transferts. Aucune offre concrète n’est arrivée, et le Brésilien est désormais lancé dans un duel à distance avec Vinicius pour s’imposer sur l’aile gauche.

Le message est clair : au Real Madrid, plus personne ne sort, plus personne ne rentre. Certains clubs, comme le Botafogo, ont tenté leur chance, mais sans succès. Les cadres comme les seconds rôles ont choisi de rester dans la dynamique collective.

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