Le Paris FC logiquement devant à la pause contre Lorient | OneFootball

Le Paris FC a dominé Lorient en première période à Jean-Bouin, porté par un Krasso décisif. Les Merlus, encore friables défensivement, ont réagi en fin de mi-temps sans parvenir à concrétiser.

Duel de promus dans un Jean-Bouin pluvieux entre le Paris FC (11e) et le FC Lorient (13e), deux équipes qui se connaissent bien. Dans des tribunes assez calmes, ce sont les Bretons qui se font entendre. Sur le terrain, c'est une autre histoire : ce sont les Parisiens qui se procurent une grosse première occasion avec un but de Krasso refusé pour hors-jeu dès la 3e minute. Servi par Kebbal à l'entrée de la surface, l'attaquant ivoirien réalise un magnifique contrôle orienté pour se retrouver face au but, avant d'ouvrir son pied droit pour enrouler au poteau opposé. Malheureusement pour les locaux, son but est logiquement refusé pour hors-jeu.

Le Paris FC donne le tempo

Malgré cette première alerte sur les buts de Mvogo, les Lorientais n’arrivent pas à sortir du marquage des hommes de Gilli, qui exercent un pressing haut. Ils sont récompensés à la 24e minute sur un superbe travail de Krasso, qui, dos au but à l'entrée de la surface, décale parfaitement son numéro 10 dont l'enchaînement ultra-rapide lui permet d’ajuster Mvogo du gauche, d’un tir croisé imparable (1-0, 25e). Bien qu’ils puissent relâcher leurs efforts après cette ouverture du score, les Franciliens frappent encore une fois seulement 5 minutes plus tard : le Nigérian Moses Simon déborde Meïté dans la surface et délivre un centre puissant, parfaitement dévié par Krasso au premier poteau pour tromper le gardien des Merlus. Lorient, pire défense de Ligue 1 avec 14 buts encaissés avant ce match, retombe dans ses travers.

La fin de période est toutefois à l'avantage des hommes de Pantaloni, qui s’installent dans la partie de terrain parisienne et se procurent des situations. Pablo Pagis se retrouve seul dans la surface, frappe en première intention du droit, mais le ballon s'envole juste avant le retour aux vestiaires (43e). Avantage logique pour le club de la capitale à la mi-temps.

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