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·9 novembre 2025

« Le PSG a joué à 16 », l’OL détruit l’arbitrage et crie au scandale

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Après la courte défaite face au PSG, l’OL ne cache pas sa colère contre l’arbitrage et n’a pas mâché ses mots.

Jorge Maciel, l'adjoint de Paulo Fonseca, a exprimé son incompréhension et sa frustration au micro de Ligue 1+. Selon lui, Lyon a affronté bien plus qu’une équipe adverse. « Ils n’ont pas besoin de jouer à 16 parce que je compte aussi le VAR. On est fier, le stade peut être fier du spectacle, ce n’était pas le match parfait. Mais le deuxième but, c’est un scandale, et il y a penalty sur Nico (Tagliafico). »


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Le match a été marqué par plusieurs décisions controversées qui, aux yeux de l’OL, ont déséquilibré la rencontre. La première polémique concerne la main de Zabarnyi lors d’un corner. Pour Maciel, cette situation est symptomatique d’un traitement inégal. « Je comprends pas que Zabarnyi soit encore sur le terrain avec toutes les fautes qu’il a fait. Il n'y a pas besoin d’avoir quatre arbitres pour voir qu’il y a faute sur Nico et penalty. » L’OL dénonce ici le manque de sanction sur des gestes similaires, quand leurs propres joueurs, comme Tagliafico, subissent des expulsions.

Plusieurs décisions font polémique

Le deuxième incident contesté est la faute de Vitinha sur Tessmann, qui précède le but de Kvaratskhelia. Lyon estime que le jeu aurait dû être interrompu et que le but ne devrait pas compter. La troisième polémique touche directement Tagliafico, expulsé pour accumulation de fautes. « Sur les règles, Nico doit être expulsé, mais pourquoi en face on ne sanctionne pas les mêmes fautes. »

Enfin, l’action qui fait le plus débat reste le tacle de Kang-In Lee sur Tagliafico, juste avant que le ballon ne frappe le poteau, qui aurait pu valoir un penalty. Maciel ne mâche pas ses mots. « On rentre dans une trêve internationale. Peut-être que les arbitres sont fatigués mais le plus important c’est qu’on fasse une vraie réflexion, parce qu'il y a des décisions qu'on ne comprend pas. » Pour lui, l’OL a été victime d’un arbitrage incohérent et partiellement arbitré par le VAR, donnant l’impression que le PSG jouait à 16.

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