OnzeMondial
·7 décembre 2025
Le sélectionneur de l'Espagne répond cash au clash entre Lamine Yamal et Carvajal

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·7 décembre 2025

Luis de la Fuente, le sélectionneur de l'Espagne, a répondu cash aux tensions qui ont eu lieu lors du dernier Clasico entre Lamine Yamal et Dani Carvajal.
L'Espagne s'avance comme la grande favorite à la victoire finale lors de la prochaine Coupe du monde. Championne d'Europe en titre et finaliste de la Ligue des nations, elle impressionne par sa façon de jouer, elle qui a survolé sa campagne d'éliminatoires. Malgré tout, des questions subsistent sur la future cohabitation entre Daniel Carvajal et Lamine Yamal, qui se sont invectivés lors du dernier Clasico.
Pas de quoi pour autant préoccuper Luis de la Fuente : "Mon rôle est de maintenir une relation saine. J'ai parlé avec eux deux et je sais que ce genre de choses arrive dans le football, à un niveau aussi compétitif. Il faut faire la distinction entre ce qui se passe sur le terrain et ce que signifie être en équipe nationale. Ils en sont conscients et ont hâte de se revoir et de se prendre dans les bras" a-t-il déclaré dans un entretien accordé à As.
Il s'est ensuite prononcé plus longuement sur le crack barcelonais : "Lamine est un joueur très important, comme toutes les équipes nationales ont les leurs. Nous devons avoir l'intelligence et la clairvoyance nécessaires pour comprendre ce qu'il représente pour nous : un jeune de 18 ans qui a besoin de continuer à progresser, tant sur le plan personnel que sportif. Il est conscient de ses lacunes et son attitude est toujours exemplaire. Chaque jour, il souhaite s'améliorer et aider l'équipe."
Une chose est sûre, le sélectionneur de la Roja a hâte de diriger sa première Coupe du monde : "C’était très émouvant (d'être présent au tirage). On se sent fier et incroyablement chanceux de faire partie de la famille de la Coupe du monde. Assister à ce spectacle était vraiment formidable ; il m’a semblé d’un très haut niveau. Faire partie de la famille de la Coupe du monde est un honneur."
de la Fuente a aussi assumé le statut de favori : "Cela ne me pèse pas. Cela me donne le sentiment d'être reconnu, en ce sens que cela valide le travail accompli jusqu'à présent. Être favori ne garantit rien. Il y a d'autres équipes tout aussi favorites que l'Espagne : la France, l'Argentine, le Brésil, l'Angleterre, le Portugal… Nombreuses sont celles qui sont capables de remporter la Coupe du monde. Être considéré comme l'un d'eux me rend fier, d'autant plus que rien ne nous a été donné. Être numéro un au classement FIFA est le fruit d'un travail de qualité et de la présence d'une génération exceptionnelle de footballeurs."
Enfin, il a conclu : "Je ne me souviens pas d'une Coupe du monde avec un plateau d'équipes aussi relevé. En regardant tous les groupes, je me disais : « Il y a de bonnes équipes dans chaque groupe. » Il y a beaucoup de favoris, ce qui témoigne du niveau de compétition élevé. Ce n'est pas seulement dû aux 48 équipes, car certaines équipes, dans d'autres circonstances, auraient été éliminées malgré leur fort potentiel. Mais nous allons voir des équipes que nous n'aurions jamais connues sans ce format. Le football international atteint aujourd'hui un niveau exceptionnel partout dans le monde."
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