Les Girondins de Bordeaux ont déjà planché sur le budget de la saison prochaine, que ce soit en National ou en National 2 | OneFootball

Les Girondins de Bordeaux n’en ont pas encore terminé de cette saison 2024/2025 qu’il faut déjà préparer celle de 2025/2026. Sur le plan sportif, le club au scapulaire n’est toujours pas fixé. Il pourrait évoluer en National, ou plus probablement en National 2 avec les contre performances et le  fait que Saint-Malo se soit de nouveau imposé 2-1 ce vendredi soir face à Bourges. Nous n’allons bien entendu pas évoquer l’option où le FCGB serait plus bas. Cela voudrait dire qu’il y a eu une cession ou une liquidation judiciaire.

Selon le quotidien L’Equipe, les montants varient quasiment du simple au double en fonction du championnat : 10 millions d’euros, en National contre 6 millions en cas de redémarrage en National 2. Dans les deux options, le remboursement de la dette est inclus, ce qui représenterait un montant de 3 millions d’euros dans l’optique où cette dernière était rabaissée à 30 millions en Juin prochain.

(Photo by Sylvain Thomas/FEP/Icon Sport) – Photo by Icon Sport

Comme le rapporte le quotidien sportif, « les dirigeants bordelais devront être en mesure de verser environ 8 millions d’euros dont une partie sur un compte séquestre. Ce montant correspond à deux lignes comptables. La première, 6,5 millions d’euros à verser au titre de l’assurance garantie des salaires (AGS) qui a permis de payer les sommes dues aux employés licenciés (salaires, préavis, indemnités de rupture…). La seconde, une sorte de caution, est équivalente à 10 % de la dette révisée. » Cela représenterait un montant de 2 à 2,5 millions d’euros.

Quoi qu’il en soit, dans les deux cas Gérard Lopez devra remettre la main à la poche que ce soit en National ou en National 2. Pour son propre apport, cela dépendra s’il sera accompagné ou non d’un partenaire minoritaire (ou majoritaire) d’ici là.

Si les Girondins montent en National :

Si les Girondins restent en National 2 :

Les Girondins de Bordeaux peuvent espérer reconstruire des bases saines mais il ne faudra plus faire de folies ou se louper comme ce fut très souvent le cas ces dernières années.

Photo by Hugo Lerat