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·17 novembre 2025

Les Tops et Flops de l’Italie contre la Norvège

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Voici les notes attribuées aux joueurs de l’Equipe d’Italie par la Gazzetta dello Sport après la défaite 4-1 contre la Norvège :


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L’ENTRAÎNEUR

5 – Gattuso L’équipe s’effondre en un instant : du jamais vu jusque-là, et si ça arrive avec lui… Qu’il parle de « petit bras » inquiète, mais cette baisse de tension l’est encore plus.

LE MEILLEUR

6,5 – Esposito Au moins lui fait ce que demande Gattuso : il joue comme un vrai numéro 9, ça se voit sur son enchaînement qui fait 1–0. De la tête, il loupe l’action du 2–0, il tente encore plusieurs fois : vivant jusqu’au bout.

LE PIRE

4,5 – Bastoni Le premier à s’écrouler, comme à Oslo. Sorloth le fait tourner en bourrique pendant 45 minutes, ensuite c’est un chemin de croix : toujours en difficulté, avec une grosse erreur sur le 3–1. (Buongiorno : non noté)

5,5 – Donnarumma Jusqu’au l’1–1, il était inactif. Quand Politano dévie la frappe de Nusa, le ballon devient impossible à gérer. À part couvrir son poteau sur Nusa, il ne peut pas faire grand-chose.

4,5 – Di Lorenzo Nusa n’est qu’un demi-fantôme pendant une mi-temps, mais ensuite ce sont des frissons en série : déséquilibré sur l’1–1, il mord à la feinte de Bobb sur le 2–1, et arrive en retard sur le 3–1 d’Haaland.

5 – Mancini Confiant, peut-être trop : d’entrée il prend un risque, Locatelli lui sauve la mise. Espérer un Haaland éteint, c’était un mirage ; même Strand Larsen le balade sur le 4–1.

6 – Politano Il dévore tout son couloir, attaque Moller Wolfe, revient sur Nusa tant qu’il en a la force. Quelques imprécisions dues aussi à la fatigue : lui aussi coule, mais c’est le dernier à essayer.

4,5 – Frattesi Il a des réserves d’énergie, mais peine à les utiliser : plus de la lutte que des débordements, mais on le voit peu, et c’est le premier à ne pas contenir Nusa sur le but du 1–1.

6 – Locatelli Il fait tourner l’Italie en liant le jeu et en renversant les actions ; il laisse moins de temps à Berge pour réfléchir qu’il n’en prend pour lui-même, sans erreurs. Sort avant le naufrage.

5 – Barella Pendant un moment, ses échanges très serrés avec Dimarco posent de vrais problèmes à la Norvège. Mais dès qu’il faut se battre – pourtant son terrain de prédilection – un carton jaune le freine. (Ricci : non noté)

6 – Dimarco Il profite du flottement de Ryarson pour s’imposer sur l’action du 1–0 et envoie un centre parfait à Esposito pour le doublé. Il tente le 2–1, mais Nyland s’interpose.

6 – Retegui Sa remise qui mène au 1–0 est à la fois généreuse et magistrale. Il court, presse, bataille, subit des fautes (pas toujours sifflées) et finit exténué, sans réelle chance de marquer.

5,5 – Cristante Il semblait être le bon choix pour la taille, le physique et les couvertures. Mais pendant ses 25 minutes, l’Italie encaisse trois buts, sombrant aussi au milieu : il est complice du naufrage.

non-noté – Zaccagni Pour une tentative timide de 3–4–3 en fin de match, mais la Norvège continue de dominer et il perd le ballon qui lance la contre-attaque du 4–1.

non-noté – Scamacca Esposito avait tout donné, lui peut apporter peu : un peu de présence dans la surface, une reprise contrée, et c’est tout. Même pas l’occasion de jouer des coudes.

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