Lorient – Olivier Pantaloni avant le Paris FC : « Ne pas faire ce match plus gros que ce qu’il n’est » | OneFootball

Le choc des titans ! Leader de Ligue 2, le FC Lorient se déplace sur la pelouse de son dauphin, le Paris FC, samedi à 14 heures pour le compte de la 26e journée. En cas de succès, les Merlus prendraient une option sur le titre et la montée avant le sprint final. Le coach Olivier Pantaloni s’est exprimé devant la presse jeudi, à l’avant-veille du match.

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« Ça peut être un tournant en cas de victoire. Si on arrive à gagner à Paris, dans le pire des cas, on a six points d’avance sur le troisième, dans le meilleur des cas, on en a huit. Quelques soit les autres résultats, on sait que c’est un championnat qui est très serré, il n’y aura rien qui sera joué, ce ne sera pas un match décisif, il y en aura huit autres derrière. Il faut y aller avec beaucoup d’envie pour aller chercher un gros résultat, sans se mettre une pression inutile, par rapport à une crainte qu’on pourrait avoir de perdre cette rencontre. Les joueurs l’ont très bien préparé, il faut y aller avec confiance. Il faut être conscient de l’importance de ce match en cas de victoire mais ne pas le faire plus gros que ce qu’il n’est. Une victoire nous mettrait dans une position ultra-favorable pour la suite. Tout autre résultat nous demandera d’être aussi rigoureux et déterminé pour aller chercher cette montée. »

Sur le PFC : « C’est une équipe qui aime avoir la possession, ils l’avaient eue plus que nous au match aller (2-0 pour le FCL), ce qui n’est pas commun au Moustoir. Malgré tout, on a été plus dangereux qu’eux même si le début avait été un peu laborieux. On est conscient à la capacité de cette équipe à poser des problèmes. On est prêt à leur laisser la possession, sans trop subir bien entendu. On est prêt à courir, à faire des efforts. L’important est de travailler en groupe, d’avoir un bloc très compact face à une équipe comme ça. Et après de savoir utiliser nos temps de jeu avec justesse. Courir après le ballon n’est pas ce qu’ils préfèrent. Il faudra essayer de leur faire mal chaque fois qu’on aura la possibilité. »

Photo Loic Baratoux /FEP/Icon Sport