Foot National
·7 septembre 2025
Manu Koné (France) : "Il y a une concurrence rude au milieu de terrain, avec de très grands joueurs"

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·7 septembre 2025
Un retour des plus attendus. Ce mardi soir, l’Équipe de France reçoit effectivement l’Islande dans le cadre de la deuxième journée des Éliminatoires pour la Coupe du Monde 2026. Une rencontre qui se disputera sur la pelouse du Parc des Princes, sans toutefois les deux locaux Ousmane Dembélé et Désiré Doué, blessés pour de longues semaines. Avec un milieu de terrain en pleine reconstruction, Manu Koné a désormais son épingle à tirer. Le joueur de l’AS Roma a disputé l’intégralité de la rencontre le week-end dernier face à l’Ukraine (0-2) et espère être, de nouveau, titularisé aux côtés d’Aurélien Tchouaméni. À deux jours du match face à l’Islande, le milieu de 24 ans était présent en conférence de presse. L’occasion pour lui de s’exprimer sur son retour à Paris, lui qui est né à quelques minutes du stade du PSG, à Colombes (92).
La concurrence au milieu de terrain :
« J’essaye de donner le maximum. Aujourd'hui, il y a une concurrence rude au milieu de terrain, avec de très grands joueurs. Tout le monde essaie de se donner les moyens de jouer. J'essaie de faire le maximum à l'entraînement et en club, pour montrer au coach que j'ai envie de jouer tous les matchs. Je répondrai présent lors de toutes les minutes qu'il me donnera. »
Son positionnement :
« Je m'adapte à tous les dispositifs. L'an passé en Ligue des nations, on a évolué en 4-3-3, en 4-2-3-1, j'ai joué en pointe basse dans un milieu à trois, relayeur aussi, donc j'ai la faculté de m'adapter. Il faut toujours se tenir prêt. Contre l'Ukraine, on s'est sentis bien avec Aurélien Tchouaméni, compatibles, on s'aidait mutuellement, offensivement ou défensivement. On est contents de ça. »
Un gros volume de jeu :
« C'est vrai que l'une des mes forces, c'est mon volume de jeu. Qu'on soit à deux ou trois au milieu de terrain, tu dois forcément courir au milieu de terrain, avec ou sans ballon. Il faut être flexible et bien permuter. Le plus important, c'est de gagner les matchs. »
Aurélien Tchouaméni :
« On communique très bien, on s'entend très bien. C'est un ami, donc forcément, la cohésion est pareille sur le terrain. Ça nous aide beaucoup. Quand je suis arrivé en sélection, ça a été un des premiers à me mettre à l'aise. Sur le terrain, c'est facile de jouer avec lui. On se donne à fond pour l'équipe. »
L’Équipe de France :
« Le plus important, c'est de gagner les matchs. Si c'est le cas, le public sera très content. Après, il faut imposer notre style, dans le pressing ou dans les attaques offensives, les très bons retours défensifs aussi. Contre l'Islande, il faut jouer sans pression, on est chez nous, on est compliqué à jouer à la maison. On est confiants, on les armes pour gagner » a-t-il fait savoir dans des propos rapportés par nos confrères de RMC Sport.
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