Même réduit à dix, le Real Madrid reprend confiance contre Pachuca ! | OneFootball

Le Real Madrid a craint de partir pour une soirée galère face à Pachuca, mais a finalement réussi à obtenir un succès très précieux dans cette Coupe du monde des clubs.

Malgré une entame cauchemardesque avec l'expulsion directe de Marco Asensio dès la 7e minute, le Real Madrid s’est imposé face à Pachuca (3-1) et s’est rassuré après un nul frustrant contre Al Hilal. Privé de Kylian Mbappé et contraint de jouer à dix pendant plus de 80 minutes, le club merengue a su faire preuve de caractère et d’efficacité pour retrouver des couleurs en Coupe du monde des clubs.

Pachuca, entreprenant dès le début, a mis le Real en grande difficulté. Rondon, très actif, a inquiété Courtois à plusieurs reprises. Les Mexicains ont dominé les débats dans l’intensité et les occasions, mais c’est le réalisme madrilène qui a fait la différence. Jude Bellingham, en véritable patron, a ouvert le score à la 35e minute après une belle combinaison avec Fran Garcia. Huit minutes plus tard, Arda Güler doublait la mise à la suite d’un splendide mouvement collectif initié par Alexander-Arnold.

À la pause, malgré l’infériorité numérique, le Real menait 2-0, un avantage flatteur tant Pachuca s’était montré dangereux, à l’image de nombreuses frappes repoussées par un Thibaut Courtois impérial.

Valverde fait le break, Courtois finit par céder

Au retour des vestiaires, les Merengue ont géré intelligemment. Federico Valverde, repositionné latéral droit après un remaniement tactique, a brillé sur tous les fronts. Il est à la conclusion d’un bijou collectif à la 70e minute, offrant le but du break (3-0) à un Real pourtant en difficulté dans le jeu.

Pachuca n’a rien lâché et a été récompensé par la réduction du score d’Elias Montiel à la 80e minute, sur une frappe déviée par Tchouaméni. Ce but a brièvement relancé le suspense, mais le Real a tenu bon dans le dernier quart d’heure.

Cette victoire, acquise dans l’adversité, est un vrai bol d’air pour les hommes de Xabi Alonso. Sans leur star Mbappé, et avec un joueur de moins, ils ont su faire preuve de solidarité et d'efficacité. Le retour de la confiance passe par là.

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