Monaco et Pocognoli en plein cauchemar, les chiffres fous de Sage à Lens, Digard rassure pour un cadre du Havre | OneFootball

Sébastien Pocognoli est en train de vivre un véritable cauchemar à la tête de l'AS Monaco tandis que Pierre Sage vit pour le moment tout l'inverse du côté de Lens. De son côté, Didier Digard s'est voulu rassurant pour l'un de ses cadres, sorti sur blessure hier soir contre le PSG.

Les temps sont durs à l'AS Monaco. Hier soir, le club de la Principauté a enchaîné un troisième revers de rang en s'inclinant lourdement sur la pelouse du Stade rennais deux semaines après une défaite sur le même score face à Lens. D'ailleurs, comme le rappelle Opta, l'ASM a encaissé quatre buts lors de deux matches d'affilée en Ligue 1 pour la première fois depuis septembre 1975.

Sébastien Pocognoli, quant à lui, ne compte que sept points après ses six premiers matchs de championnat, soit le plus faible total pour un entraineur avec le club monégasque dans l'élite à ce stade depuis Robert Moreno en février 2020 (7) explique Stats Foot. Enfin, le club de la Principauté a encaissé 25 buts après 13 journées de L1 pour la 1ère fois depuis l'exercice 1975/76 (28). Un vrai cauchemar.

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Un contraste saisissant avec les débuts de Pierre Sage à Lens. Laurent Mazure fait part d'une donnée édifiante : le technicien de 45 ans est le deuxième coach du Racing à avoir remporté six de ses sept premiers matchs de L1 à Bollaert-Delelis, en compagnie de Gérard Houllier (1982). Stats Foot en rajoute une couche et assure que hors PSG, seuls Lucien Favre (32 avec Nice) et Francesco Farioli (29 avec Nice) ont pris plus de points que l'ex entraîneur de l'OL (28 avec Lens) après ses 13 premiers matchs sur le banc avec un club de L1 sur les 10 dernières années.

Une réussite à domicile sur laquelle il s'est exprimé après le succès contre Strasbourg : "Ça ne parle pas de notre équipe, ça parle de notre club. Quand on joue ici, il y a une ferveur autour de l’équipe qui est extraordinaire et nous porte. Ça nous permet de jouer plus nombreux que nos adversaires. C’est un vrai avantage. On a à cœur d’entretenir ça, de faire en sorte que les gens repartent heureux du stade. Ils nous apportent beaucoup de force dans ce que l’on fait, de régularité, car quand nous avons des passages à vide, eux sont toujours présents. Malgré tout, l’ambiance dans le stade est révélatrice, car en première période elle était un peu à la hauteur de ce qu’on produisait, tandis qu’après la pause, ils se sont réveillés comme nous" a-t-il déclaré dans des propos rapportés par Lensois.com.

Digard se veut rassurant pour Abdoulaye Touré

Enfin, du côté du Havre, c'était la frustration qui prédominait après le revers face au Paris Saint-Germain (3-0), un score assez lourd eu égard à la physionomie du match. En plus de cela, c'est l'inquiétude qui s'est emparé du club normand après la sortie sur blessure d'Abdoulaye Touré, visiblement blessé à la jambe droite.

En conférence de presse, Didier Digard s'est toutefois voulu rassurant : "On n’a pas d’explication précise. Il a eu une douleur au genou qui est apparue cette semaine, et elle l’a gêné au fur et à mesure du match. Je ne pense vraiment pas. Il n’y a pas d’élément déclencheur grave ou de signe de gravité. Mais c’était assez gênant pour l’empêcher de continuer" a-t-il expliqué, tout en "espérant" que ce ne soit rien de grave.

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