« Ne me fais pas chier », Giroud malmené par un ancien joueur corse | OneFootball

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·19 octobre 2025

« Ne me fais pas chier », Giroud malmené par un ancien joueur corse

Image de l'article :« Ne me fais pas chier », Giroud malmené par un ancien joueur corse

Un ancien personnage de la Ligue 1 raconte la fois où il a tenté de déstabiliser Olivier Giroud alors qu'il évoluait encore du côté de Montpellier en France.

La Ligue 1 a toujours eu des personnalités fortes, des joueurs pas comme les autres, que ce soit des stars... ou des anti-stars. Parmi la deuxième catégorie, on retrouve Rodéric Filippi, l'ancien défenseur central du Gazélec Ajaccio. Avec sa grosse barbe et son éloigné des clichés du footballeur, il avait marqué son époque.


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Aujourd'hui, il est devenu jardinier à la ville d'Ajaccio, et dans les colonnes du quotidien l'Équipe, il s'est confié sur son passage en Ligue 1. Il se rappelle notamment de son accrochage avec un certain... Zlatan Ibrahimovic : Le seul avec lequel j'ai eu un accrochage, c'est Zlatan. Il me mettait des balayettes quand le ballon était à l'opposé. Mais à un moment, je me suis un peu étiré un muscle, limite un claquage, et il est venu me dire : "Fais attention pour ta carrière... ", donc pas un méchant. Moi, je mettais un coup de genou au premier contact... Si j'en jouais ? Bien sûr !", explique-t-il avec humour.

"Si tu veux jouer dans quinze jours..."

Il explique ensuite avoir tenté de perturber un certain Olivier Giroud : "Quand on a joué contre Montpellier en quarts de finale de la Coupe de France (le 21 mars 2012, qualification 1-0 du GFCA), la première phrase que j'ai dite à (Olivier) Giroud, c'est : "Si tu veux jouer dans quinze jours en équipe de France, tu ne me fais pas chier aujourd'hui". Il m'a regardé du genre : "Qu'est-ce qu'il veut lui ? " Il a joué, mais tu voyais qu'il ne voulait pas se blesser", raconte le Corse avec humour.

Pour conclure, il se rappelle aussi des deux meilleurs joueurs qu'il a du affronter, et il s'agit de... deux Parisiens : "D'abord Zlatan (Ibrahimovic). Parce que c'est Zlatan et que j'ai eu du mal à le bouger. Même si je déteste son jeu. Contre nous, il avait marché tout le match. Il ne branlait rien, il ne bougeait pas, il attendait le ballon, mais il était là où il fallait quand il fallait. Et il y a Edinson Cavani. Il aurait pu être 100 fois plus fort que Zlatan. C'était l'intelligence de jeu, l'intelligence dans les appels et des efforts exceptionnels. Mais lui, il lui fallait dix occasions pour marquer". Les intéressés apprécieront.

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