OM, Duje Caleta-Car ne regrette pas d'être venu à Marseille : "J'ai fait le bon choix, je crois en moi" | OneFootball

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·16 février 2019

OM, Duje Caleta-Car ne regrette pas d'être venu à Marseille : "J'ai fait le bon choix, je crois en moi"

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Après six mois compliqués, Duje Caleta-Car commence à s'imposer dans le onze de départ de l'OM en charnière centrale. Dans une interview accordée à La Provence, Duje Caleta-Car est revenu sur son choix de rejoindre l'OM l'été dernier après une belle saison à Salzbourg. Un choix qu'il ne regrette absolument pas en dépit de son manque de temps de jeu et ses prestations pas au niveau attendu durant la première partie de saison.

"Évidemment, c’est le coach qui décide, mais je serais très heureux si j’étais aligné une troisième fois de rang. J’ai montré que j’étais prêt à me battre. Il m’a fallu du temps pour m’adapter à un nouveau pays, une nouvelle culture. Aujourd’hui, tout est à sa place. Je crois en moi, j’ai confiance. Dès le premier jour, j’ai mesuré à quel point l’OM était un grand club, notamment dans les infrastructures. J’ai été surpris aussi d’être rapidement reconnu dans la rue", a avoué l'international croate.


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"Garcia avait raison"

"Je ne m’y attendais pas. Marseille est une très bonne étape dans ma carrière. J’ai fait le bon choix, c’était la meilleure décision pour moi. (…) C’est vrai que d’autres clubs étaient intéressés, comme le FC Séville qui était proche de me recruter. Mais les dirigeants du club et le coach m’ont expliqué ce qu’ils attendaient de moi, ce qu’ils pensaient de moi. Ma décision a été basée sur ces critères. C’était le plus important", a ajouté le défenseur de l'OM

Duje Caleta-Car a reconnu avoir manqué sa première partie de saison : "J’avais dit avant le match contre Francfort que je n’étais pas content de mon début de saison, je m’en souviens. Je pense toujours cela, même si je trouve que c’est mieux aujourd’hui. Avec deux victoires d’affilée, je suis content de mes matchs. J’espère continuer sur cette voie, notamment contre Amiens. J'ai une très bonne relation avec le coach, comme tout le monde dans le vestiaire. Il parle beaucoup avec les joueurs, il prend de nos nouvelles, il vient toujours nous poser des questions, nous parler du match. Quand il a parlé de moi, je l'ai pris normalement car j'avais le même sentiment. Le coach avait raison, nous, les recrues, avions besoin de temps pour digérer toutes ces nouveautés".

"Ce n’était pas facile pour moi car il y a eu le facteur de la coupe du monde. Et puis, quand tu ne joues pas avec l’équipe nationale, c’est encore plus dur. Je n’ai pas arrêté d’enchaîner les avions et les hôtels. Forcément, ça joue sur ton mental. Après, j’ai eu trois semaines de vacances. Quand je suis revenu, j’ai joué après deux semaines d’entraînement. C’était sans doute trop tôt, je n’étais pas dans les meilleures conditions. C’est difficile pour tous les joueurs. Nous avons besoin de jouer pour être bon. La saison dernière, j’ai joué tous les matches de Salzbourg. Mon corps acceptait d’être sollicité tous les trois jours ; là, j’ai dû m’adapter au fait de jouer un match puis ne plus en disputer pendant un mois, puis jouer dix minutes avant de retrouver le banc et d’être à nouveau titulaire... C’était dur pour moi", a conclu le vice-champion du monde.