OnzeMondial
·16 octobre 2024
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Exilé au Brésil depuis la fin de son histoire avec l'Olympique de Marseille, Dimitri Payet n'a pas oublié le stade Vélodrome et son ambiance de folie.
L'une des, si ce n'est la meilleure ambiance de France, sans aucun doute, qui n'a rien à envier aux plus grandes enceintes européennes. Depuis sa rénovation il y a déjà 10 ans, le Stade Vélodrome impressionne les amateurs de football, et les joueurs eux-mêmes. Parmi les témoins privilégiés de cet écrin, Dimitri Payet a vécu des moments mémorables sur ce rectangle vert, lui qui était capable de faire soulever des foules comme personne. Une ambiance dont il a su s'imprégner pour briller. Mais qui lui a valu aussi valu des problèmes d'oreilles.
Dans un entretien accordé à France Bleu, il raconte la fois où il aurait bien aimé pouvoir jouer avec des bouchons d'oreilles : "Cela m’est arrivé une ou deux fois. Le quart de finale retour (Ligue Europe 2018) contre Leipzig, en deuxième mi-temps, quand ça pousse fort, que l’on marque, que l’on mène. Même moi, je me disais : "j’ai l’impression que la pelouse bouge, je me suis dit, çà va tomber, ce n’est pas possible. C’est extraordinaire" se rappelle-t-il avec émotions, en plongeant à nouveau dans ses souvenirs européens : "On a des soirs… Les souvenirs qui me viennent, ce sont les soirs de coupe d’Europe. On a des soirs de coupe d’Europe où l’on sent vraiment que ce soir, ce n’est pas possible, ça ne va pas le faire de l’autre côté (l’adversaire) : "On joue à 63.000, ils ne peuvent pas gagner, ce n’est pas possible". Les supporters apprécieront.
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