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·27 septembre 2024
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Sans Sidiki Chérif ni Bamba Dieng, le coach Alexandre Dujeux évalue ses options et ne sait pas encore si Lepaul, Diony, Niane ou quelqu’un d’autre occupera ce fameux poste d’avant-centre ce week-end, pour la réception de Reims. Mais une chose est sûre : chaque adversaire qui affrontera Angers cette saison sera un cran au-dessus des équipes que le SCO rencontrait l’année dernière, et ce week-end ne fera pas exception. C’est pourquoi malgré la 6e place des Rémois, le technicien attend de voir ses joueurs hausser leur niveau de jeu et espère voir la première victoire de la saison.
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« Contre Nantes, c’était le deuxième match où l’on était revenus à 4 derrière, donc les automatismes n’étaient pas tout à fait là. Pour moi, il y a des motifs de de satisfaction c’est vrai, mais il y a les résultats, il y a le nombre d’occasions qu’on peut se créer – même si on sait qu’en Ligue 1 c’est plus dur dans les différences individuelles. On va progresser, que ce soit collectivement ou individuellement. L’animation offensive dans les 30 derniers mètres, ce pas toujours le plus simple, face à des blocs resserrés avec beaucoup de puissance. Mais ça passera par là si on veut faire une bonne saison. On a beaucoup travaillé là-dessus cette semaine, on le fera aussi sur les prochaines et on espère qu’on va avoir le bon déclic ce weekend. »
Des adversaires supérieurs au SCO tous les week-ends ?
« Évidemment il faut prendre des points. Après, les matchs sont ce qu’ils sont. Oui, nos adversaires sont des grosses cylindrées, c’est pour ça aussi que je parlais de l’aspect mental : on va préparer ce match-là, jouer avec toutes nos forces, avec toute notre envie, avec toutes nos qualités qui sont nombreuses. Et nous n’allons pas nous faire une montagne du niveau de l’adversaire. On est en Ligue 1, on l’a mérité, on est une vraie équipe de Ligue 1. Et nos adversaires sont tous bons, ce n’est pas à nous de demander des adversaires moins forts, mais à nous d’être meilleurs de sortie en sortie. »
« Notre progression doit nous permettre de gagner des places. Aujourd’hui, elle est ce qu’elle est. Je pense que ça ne reflète pas ce qu’on peut produire mais si on n’a que deux points c’est qu’il nous manque des choses. Ça doit être une motivation supplémentaire, de vouloir quitter cette place, d’aller chercher cette première victoire… Il y a plein de motifs de motivation pour ce match là. »
Photo Eddy Lemaistre/Icon Sport