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·8 novembre 2024
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Après avoir enchaîné deux matchs nuls en deux journées contre Amiens et contre Rodez, il est grand temps pour le Paris FC de reprendre sa marche en avant et ses distances avec ses poursuivants ! C’est dans cet état d’esprit que se trouvait son entraîneur Stéphane Gilli en conférence de presse avant la 13e journée de Ligue 2 et le déplacement chez le Pau FC, qui a perdu trois matchs consécutivement. S’il se méfie de la bête blessée béarnaise, le technicien à la tête du club actuellement leader du championnat espère une victoire des siens, même sans les frères Lopez (Julien est blessé, Maxime est suspendu). L’ancien de l’OM, de Sassuolo et de la Fiorentina a pris beaucoup d’ampleur dans l’entrejeu ces derniers temps mais S. Gilli ne semble pas s’inquiéter à outrance de son absence.
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« Au milieu, il y a l’absence de Maxime oui, mais j’ai du monde de disponible aussi ! On a gagné nos trois premiers matchs de la saison et Maxime Lopez n’était pas là. J’ai une équipe qui est compétitive, j’ai du monde, j’ai de la qualité à ma disposition. On va jouer comme on le faisait avant l’arrivée de Maxime. C’est un joueur important de l’équipe, c’est pour ça qu’on l’a pris. Mais on a aussi des joueur de Lohann Doucet, Vincent Marchetti, Adama Camara, même Aboubaka Soumahoro qui peut jouer en sentinelle. On va aller à Pau avec une équipe très compétitive […]. On va aller à Pau avec l’idée d’être plus performants, défensivement comme offensivement. Dans l’optique de ramener des points. »
« C’est vrai que Pau est sur trois défaites, mais ils ont quand même gagné chez eux contre Lorient, à Guingamp… On sait que quand une équipe vient de perdre trois fois d’affilée, ce n’est pas toujours le meilleur moment pour aller là-bas. On s’attend un match difficile comme tous les matchs de Ligue 2. Il y a de la qualité dans cette équipe, je crois qu’ils ont marqué 53 % de leurs buts sur transitions ou attaques rapides. On est prévenus. À nous d’être cohérents, plus justes que contre Rodez, plus équilibrés. On a beaucoup le ballon, on a un jeu de possession et on sait qu’à la perte du ballon, on est souvent en difficulté. C’est là qu’il faudrait être un peu plus équilibrés. »
Photo Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport