Paris FC – Stéphane Gilli : « Si les équipes changent leur manière de jouer contre nous, c’est à nous de nous adapter » | OneFootball

Éliminé en Coupe de France la semaine passée par QRM à Charléty (1-1, 2-4 TAB), le club de la capitale qui a présenté son prochain actionnaire majoritaire en conférence de presse cette semaine n’a désormais plus de distraction dans sa course à la montée en Ligue 1 ! L’ambitieux Paris FC, qui va visiblement travailler dans la continuité même pendant l’hiver 2024-2025, reste cependant sur quatre matchs sans gagner dont trois matchs nul en Ligue 2 avant de recevoir un surprenant FC Annecy (5e), qui va sans doute poser des problèmes au leader samedi après-midi. Le coach Stéphane Gilli a évoqué la forme de son équipe et son prochain adversaire dans une conférence postée sur YouTube.

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La défaite en coupe

« Moi, j’ai horreur de perdre des matchs. Évidemment que certains vont dire que c’est un mal pour un bien, que ça va éviter les déplacements et les blessures… On a le droit de perdre, mais le fait est qu’il nous a manqué de beaucoup de choses dans ce match contre Quevilly pour pouvoir se qualifier. C’est plus la manière qui me dérange. On doit être capables de mettre de l’intensité et du rythme, ça n’a pas été le cas. »

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Un coup de frein depuis quelques rencontres en championnat

« Peut-être qu’en en début de saison, les équipes nous connaissaient moins, il y avait un peu plus d’espace, un peu plus de temps pour préparer une frappe. Là, il faut un peu plus de spontanéité, un peu plus de concentration. C’est sur cet aspect là que les joueurs travaillent à l’entraînement. Si les équipes changent leur manière de jouer, c‘est à moi de trouver les solutions, c’est à nous de nous adapter. J’ai une équipe qui a des principes de jeu et sait ou chaque joueur doit être peu importe la formation en face. Après ça c’est ça c’est la théorie. Et en pratique, l’adversaire à un moment donné va s’adapter. À nous de trouver les espaces, de trouver les les solutions. Sur cet aspect là je trouve qu’on progresse, même si sur les résultats des derniers matchs, ce n’est pas quantifiable. »

Photo Daniel Derajinski/Icon Sport