Le Petit Lillois
·6 novembre 2024
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·6 novembre 2024
Bafodé Diakité est apparu en zone mixte ce mardi, suite au nul arraché par le LOSC face à la Juventus. Ce résultat satisfait pleinement l’ancien Toulousain.
Ils étaient 48 312 spectateurs ce mardi dans les tribunes de la Decathlon Arena – Stade Pierre Mauroy et ils ont assisté à un véritable combat entre une équipe dominante et une autre dominée. Dans cette deuxième position, le LOSC a su faire mal lorsque ses joueurs ont eu l’opportunité de se projeter, à l’image de Jonathan David qui ouvrait la marque (27′) suite à un exploit d’Edon Zhegrova. Si cet avantage n’a pas tenu jusqu’au coup de sifflet final, Bafodé Diakité se satisfaisait du point glané : « C’est un point logique, acquiesçait-il en zone mixte. On a eu une très bonne équipe de la Juventus face à nous. Ils nous ont mis à mal, mais heureusement on a bien défendu. On a eu Lucas (Chevalier) aussi. Après, ils ont eu ce penalty qu’ils ont transformé. Au final, on a ce point du nul qui n’est pas trop mal malgré tout. Il nous va bien. »
Le défenseur central enchaîne : « Quand on regarde le match dans son intégralité, au début on peut se dire que oui, mais à la fin, le point du nul me paraît juste et mérité. Il n’y a pas de frustration, plus un sentiment neutre. On a été bon, on a gagné ce point. C’est très bien pour nous, poursuivait celui qui refuse de penser à une potentielle qualification précoce. On préfère prendre match par match et voir ce qu’il se passera à la fin. On sait que si on continue comme ça, cela ne peut-être que positif. »
Enfin, le LOSC est parvenu à faire chuter le Real et l’Atlético de Madrid, et vient de neutraliser la Juventus sur sa pelouse. Faut-il reconsidérer les Dogues qui brillent sur la scène européenne ? « Nous, on est juste là pour faire ce que l’on a à faire. Ce que pensent les gens, peu importe, répondait instantanément Bafodé Diakité. Nous, on est là pour jouer notre football, jouer comme il faut le faire, c’est tout. On n’écoute pas ce qu’il se dit », concluait-il ainsi, toujours en claquettes devant les médias.