Pas encore de Coupe du monde, la Belgique déçoit sans Thomas Meunier, ni Nathan Ngoy (LOSC) | OneFootball

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Le Petit Lillois

·15 novembre 2025

Pas encore de Coupe du monde, la Belgique déçoit sans Thomas Meunier, ni Nathan Ngoy (LOSC)

Image de l'article :Pas encore de Coupe du monde, la Belgique déçoit sans Thomas Meunier, ni Nathan Ngoy (LOSC)

En déplacement au Kazakhstan, la Belgique a manqué l’opportunité d’obtenir sa qualification pour la Coupe du monde 2026 en étant neutralisée (1-1). Elle évoluait sans Thomas Meunier, ni Nathan Ngoy.

L’Angleterre, la France et la Croatie, voici les trois nations européennes d’ores et déjà qualifiées pour la Coupe du monde 2026. La Belgique aurait pu s’ajouter à cette liste, mais elle a manqué le coche ce samedi au Kazakhstan. Comment expliquer un tel scénario ? L’ouverture du score précoce des locaux. Dastan Satpaev surprenait les Diables Rouges suite à une mauvaise relance d’Arthur Theate (9′). Ils couraient ainsi après la marque pendant de longues minutes.


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La rencontre a ensuite été à sens unique, comme l’attestent les statistiques : 77 % de possession, 20 tirs à 9, 3 grosses occasions à 0, et 8 parades pour le gardien kazakh. Et pourtant, malgré ces évidences chiffrées, la Belgique a eu toutes les peines du monde à renverser la tendance. Elle n’y est d’ailleurs pas véritablement parvenue, puisque seul Hans Vanaken a été capable de faire trembler les filets (48′). Les hommes de Rudi Garcia, qui était d’ailleurs suspendu ce samedi, ont ainsi été neutralisés (1-1) et ont vu leur qualification s’échapper. Une opportunité est manquée, mais il en reste une dernière.

La Belgique évoluait, pour rappel, sans Thomas Meunier, suspendu, ni Nathan Ngoy, en dehors du groupe. Ce résultat ne devrait pas faciliter la tâche du défenseur central, alors qu’un bon résultat est obligatoire pour la huitième et dernière sortie des Diables Rouges. Ces derniers ne devront pas perdre mardi à Liège face au Liechtenstein pour valider leur qualification pour le Mondial 2026. Malgré le niveau de l’adversité, l’enjeu est là et devrait freiner un potentiel turnover trop important, à l’image de ce que compte faire Didier Deschamps avec l’équipe de France.

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