Paul Bernardoni : « J’arrive dans un club, même si c’est une opération commando, du standing de Bordeaux, voire un peu plus… » | OneFootball

« J’arrive dans un club, même si c’est une opération commando, du standing de Bordeaux, voire un peu plus, avec 40000 personnes à tous les matches… Tu es dans un complexe magnifique, mais un vestiaire malade. Ce qui m’a donné envie de rejoindre le club, c’est que j’étais dans une situation d’injustice à Angers. Je voulais toujours jouer. Je vois le classement, mais je me dis que c’est Saint-Etienne… S’il y a bien un club où ça peut se produire, c’est peut-être là. Au final, on fait une remontée exceptionnelle, je crois que je prends 22-24 points sur la phase où j’y suis. Malheureusement, on perd aux barrages, aux pénos. Il n’y a pas pire. C’est le pire souvenir de ma carrière, le pénalty à Saint-Etienne. Tu passes du héros, au mec qu’on veut abattre parce qu’il n’a pas arrêté un péno, alors que cela fait six mois que tu es là, que tu fais des supers matches… C’est dommage, parce que c’est un monument qui s’effondre… Autant te dire que quand ils sont remontés, ça m’a fait du bien quand même. Un club comme ça ne peut pas être en Ligue 2… ».

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