Olympique-et-Lyonnais
·8 janvier 2024
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·8 janvier 2024
Après une bonne fin d'année qui s’est terminée avec trois victoires de suite en championnat, l’OL n’a pas fait d’indigestion après les fêtes. Même si le contenu est forcément encore brouillon, l’essentiel est là actuellement pour les Lyonnais, vainqueurs de Pontarlier (0-3). Des victoires pour faire du bien à la tête. Le reste arrivera forcément si la confiance est là. Dans la course au maintien, ce sont avant tout des points et encore des points qui feront la différence. Dimanche, la victoire face à Pontarlier n’a rien rapporté au niveau comptable aux joueurs de Pierre Sage.
Toutefois, ils ont réussi à ne pas tomber dans le piège doubien et verront bien les 16es de finale de Coupe de France. Cet objectif, même s’il n’est pas prioritaire, a forcément une incidence dans la tête et les quatre victoires de suite tout autant. Dans ce succès à Besançon, deux joueurs ont parfaitement bien commencé l’année 2024, après avoir montré du mieux juste avant la trêve. Il est question de Rayan Cherki et d’Ainsley Maitland-Niles.
Comme l’OL, tout n’est pas parfait pour les deux joueurs. Malgré tout, en trouvant le chemin des filets juste avant la pause, Cherki a enlevé une belle épine du pied à son équipe. Il a surtout inscrit son premier but de la saison après 18 matchs disputés. Ce compteur débloqué intervient après s’être montré décisif face au FC Nantes en offrant l’unique but de la rencontre à Alexandre Lacazette. Deux fois impliqué en deux matchs, c’est avant tout là que l’on attend le jeune meneur rhodanien. Ce dernier n’est pas le seul à reprendre du poil de la bête depuis un mois.
Véritable énigme depuis son arrivée à l’OL l’été dernier, Ainsley Maitland-Niles retrouve lui aussi des couleurs depuis trois matchs. Sa passe décisive à Monaco semble avoir créé un déclic psychologique chez l’ancien Gunner. Même son entrée contre le FC Nantes pour quelques minutes avait permis à l’OL de conserver un bloc compact, plutôt que d’errer comme une âme en peine sur le terrain comme ce fut le cas entre août et novembre. Titulaire pour la première fois depuis le 22 octobre, Maitland-Niles a disputé le 32e de finale contre Pontarlier en intégralité. Cela faisait quatre mois qu’il attendait ça et son but pour le break (52e) confirme une montée en puissance physique. Ce n’est pas Pierre Sage qui va s’en plaindre.
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