Première période animée entre Brest et Nice, avantage aux Bretons | OneFootball

Pour cette rencontre de la 5e journée de Ligue 1, Brest a parfaitement démarré son match face à Nice grâce au duo Del Castillo-Ajorque. Les Niçois ont réagi en réduisant l’écart avant la pause, laissant entrevoir une seconde période palpitante.

Nice, qui se déplace sur la pelouse de Brest pour le compte de la 5e journée de Ligue 1, est tombé dans le piège tendu par les Bretons. Auteur d'une bonne entame de match, le club breton a vite réussi à ouvrir le score (1-0, 6e) puis à doubler la marque (2-0, 9e).

Un Del Castillo de gala

Cette bonne prestation des Bretons tient pour beaucoup au talent d'un homme : Romain Del Castillo. Sur le premier but, il mystifie la défense niçoise pour servir un caviar à Ludovic Ajorque qui n'a plus qu'à pousser le ballon dans les filets (1-0, 6e). Sur le deuxième, on reprend les mêmes mais on inverse les rôles. Quelques minutes après l'ouverture du score par le Réunionnais, ce dernier est trouvé en pivot puis sert Del Castillo, qui envoie une magnifique frappe enroulée dans la lucarne d'Evan Diouf, qui ne peut rien faire. En deux éclairs, les hommes d'Eric Roy semblent avoir fait le coup parfait, c'était sans compter sur la réaction des hommes de Franck Haise.

Un Nice à réaction

Les Aiglons, bien qu’impuissants sur les deux premières incursions bretonnes, ont su réagir après leur entame de match ratée. Après les deux buts brestois, les Niçois, avec un pressing haut, dominent la suite du match. Les assauts sur les buts de Grégoire Coudert se font de plus en plus pressants. C'est dans un temps fort niçois que le Nigérian Terem Moffi réduit l'écart après un très bon centre de Hicham Boudaoui. L'attaquant, bien seul dans la surface, a le temps de contrôler puis de finir pour revenir à un but des Pirates (2-1, 30e).

S’ensuit une large domination des Azuréens qui poussent les coéquipiers de Del Castillo à défendre. Heureusement pour les Bretons, Benoît Bastien siffle la mi-temps pour faire souffler les Finistériens. Signe de cette domination niçoise : la possession de balle est largement à leur faveur (68 %), ainsi que le nombre de tirs (9), mais cette domination reste assez stérile.

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