PSG – Atalanta : « Trop fort », la presse européenne choquée par Paris | OneFootball

Le PSG a frappé un grand coup pour son entrée en Ligue des champions, en infligeant une lourde défaite 4-0 à l’Atalanta.

De l’Italie à l’Espagne, en passant par l’Allemagne, les journaux s’accordent : les Parisiens sont apparus « trop forts » pour leurs adversaires en Ligue des champions. En Italie, La Gazzetta dello Sport décrit « un PSG furieux, qui frappe d’entrée et étouffe la Dea ». Le quotidien salue « un Kvaratskhelia intenable » et note que « sans Carnesecchi, l’addition aurait été bien plus lourde ».

Même constat pour le Corriere dello Sport, qui parle d’« un début de cauchemar pour l’Atalanta » et d’« une équipe de Luis Enrique beaucoup trop forte », malgré un penalty manqué et de nombreuses occasions vendangées. Tuttosport, de son côté, met en avant « le show parisien » et rappelle que « dès la 3e minute, Marquinhos avait déjà ouvert le score ». Pour le quotidien turinois, l’Atalanta « n’a rien pu faire face à l’armada parisienne ».

En Espagne, l’admiration domine. Pour Marca, le PSG « commence la défense de son titre de la meilleure des manières, en imposant sa supériorité dès les premières minutes ». Le journal madrilène insiste sur « un match maîtrisé de bout en bout, avec des défenseurs transformés en attaquants ».

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Plus lyrique encore, As décrit une véritable « œuvre d’art appelée Paris Saint-Germain ». Le quotidien souligne « une Atalanta qui a passé 90 minutes à courir derrière des ombres » et salue « l’éclair de génie de Kvaratskhelia, auteur d’un but d’artiste », ainsi que « la puissance physique d’un Nuno Mendes intenable ». Pour As, « ce PSG inspire déjà la peur en Europe ».

En Allemagne, Bild s’attarde sur la méthode novatrice de Luis Enrique. Le quotidien raconte comment l’entraîneur espagnol « a choisi de diriger la première mi-temps depuis les tribunes, communiquant par casque avec son staff, afin d’avoir une vision tactique plus large ». L’expérience a été un succès, puisque « Paris a dominé du début à la fin et a déroulé après la pause ». De Milan à Madrid, de Paris à Berlin, le constat est unanime : le PSG a débuté sa campagne européenne comme il avait terminé la précédente, en patron.

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