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·4 novembre 2025
PSG - Lucas Chevalier balance ses vérités sur son arrivée au PSG et ses difficultés

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·4 novembre 2025

Lucas Chevalier a pris la parole pour la première fois dans une longue interview pour évoquer les critiques et ses premiers pas au PSG.
Lucas Chevalier a la lourde tâche de passer après Gianluigi Donnarumma dans les cages du Paris Saint-Germain. Le portier français a été recruter par les Champions d'Europe après l'échec lié aux négociations concernant la prolongation de contrat du portier italien. Au cours d'un long entretien pour Le Figaro, l'ancien du LOSC est revenu sur son été et la réflexion difficile liée à sa possible signature dans la capitale.
"Il y a eu de la réflexion de ma part, et avec mes proches. On sait que c’est différent avant même de l’avoir vécu (…) j’aurais pu faire d’autres choix ou rester dans mon confort à Lille et ne pas prendre de risque" explique Lucas Chevalier, qui voulait passer un cap dans sa carrière.
Lucas Chevalier n'a pas eu des débuts faciles puisqu'il a réalisé plusieurs erreurs amenant des buts encaissés (Tottenham, Barcelone), voire pire des défaites comme contre l'Olympique de Marseille. Le portier évoque un peu d'inconfort à son arrivée à Paris. "Je me sens de mieux en mieux. Mon arrivée s’est vraiment accélérée dans les derniers jours, et on a tout de suite préparé la Supercoupe d’Europe. Donc, les premiers mois, en tout cas le premier mois et demi, il y avait un peu d’inconfort. Je logeais encore à l’hôtel. Et puis je suis quelqu’un d’assez routinier, assez carré, et là, c’était un peu le freestyle. (...) Au tout début, ce n'était pas facile sur un plan général. Mais là, je commence à prendre mes habitudes que ce soit au club, comment je m'entraîne ou en dehors."
Conscient des critiques sur lui-même, Chevalier a pris conscience qu'il est arrivé dans un club où "tu n'as pas le droit à l'erreur" et où les moindres faits et gestes sont analysés. "Tout est scruté, il faut être bon tout de suite. Honnêtement, on va chercher des petites choses. Le bon, c’est normal, le moins bon, ce n’est pas normal. Mais finalement, c'est bien d'avoir ça d'entrée de jeu. Je pense que quand on est très bon ici, on est vraiment mis sur un piédestal, plus qu'à Lille. Mais, si on est moins bon, on est mis six pieds sous terre".
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