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·27 octobre 2025

Real Madrid : Vinicius ne décolère pas, il parle déjà d'un départ

Image de l'article :Real Madrid : Vinicius ne décolère pas, il parle déjà d'un départ

Le Real Madrid pourrait bien avoir à faire à un nouveau feuilleton Vinicius Junior, le Brésilien est toujours en colère et envisage même un départ cet été.

Hier soir, le Real Madrid s'est imposé 2-1 dans le Clasico face au Barça, mais à quel prix ? Un Santiago Bernabéu bouillant, un Vinicius électrique, un Real Madrid lancé vers un succès de prestige. Mais à la 72e minute, tout a basculé. Sur le bord du terrain, le panneau s’allume : numéro 7. Vinicius n’en croit pas ses yeux.


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Il hurle, gesticule, interpelle Xabi Alonso : « Moi ? Moi, mister ?! » Puis, furieux, il lâche une phrase qui glace le vestiaire madrilène : « Toujours moi ! Je me casse ! Mieux vaut que je parte ! » Depuis ce moment, la Maison Blanche brûle. Ce qui n’était qu’un malaise est devenu un véritable sujet.

Vinicius, l'heure du départ ?

D’un côté, un Xabi Alonso soutenu à 100 % par sa direction, convaincu d’avoir pris une décision “logique” dans un match de cette intensité. De l’autre, le Brésilien persuadé qu’il n’est plus respecté à la hauteur de son statut. Le Brésilien estime avoir fait les efforts demandés : défendre plus, courir plus, s’adapter au plan du Basque. En vain.

Trois titularisations manquées sur treize matchs, seulement trois rencontres disputées en intégralité… et une impression persistante de ne plus faire partie des “intouchables”. À ses yeux, le message est simple, il n’est pas dans les plans du coach. Ce n’est pas la première alerte. Déjà en septembre, une réunion improvisée à Valdebebas avait tenté d’apaiser les tensions. Tout semblait reparti. Jusqu’à ce Clásico.

Aujourd’hui, Vinicius envisage sérieusement l’impensable : un départ l’été prochain si Xabi Alonso reste sur le banc, affirme le quotidien AS. Le Real Madrid, lui, campe sur ses positions en confirmant une confiance totale envers son entraîneur et indignation face à l’attitude du joueur. La fracture est profonde, et chacun campe sur ses certitudes. En attendant, cette victoire pourrait bien bouleverser beaucoup de choses.

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