Rulani Mokwena révèle l’un des avantages qui le distinguent en tant qu’entraîneur de football ! | OneFootball

L’ancien coach du Wydad met en avant certaines forces dont il est fier.

Rulani Mokwena révèle l’un des avantages qui le distinguent en tant qu’entraîneur de football !

Il semble que l’ancien entraîneur du Wydad, le Sud-Africain Rulani Mokwena, soit fier de certains éléments qui le distinguent des autres entraîneurs du continent africain, des qualités qu’il considère personnellement comme des atouts et qui, selon lui, le démarquent de ses pairs.

Après une année à la tête du Wydad Athletic Club du Maroc, Rhulani Mokwena dirige désormais le banc de l’un des plus grands clubs d’Algérie.

Son aventure à Alger a démarré sous les meilleurs auspices, contrastant nettement avec ses débuts compliqués à Casablanca, où il avait dû reconstruire un effectif. Sous la houlette du technicien de 38 ans, le Mouloudia Club d’Alger affiche une invincibilité depuis le début de la saison. Leur bilan en Ligue 1 Professionnelle algérienne est impressionnant : sept victoires et un nul en huit rencontres.

Qu’a déclaré Mokwena au sujet de ce qui fait sa singularité ?

Lors d’une réunion virtuelle avec les membres de la SAFJA, Mokwena—l’architecte des quatre titres de champion des Mamelodi Sundowns—a évoqué l’évolution personnelle qu’il a connue depuis son arrivée dans le football nord-africain. Il a souligné une décision réfléchie : se retirer de la lumière médiatique, qui faisait autrefois partie intégrante de son image, comme étant le changement le plus marquant.

Il a confié que son expérience lui avait appris la valeur du travail dans l’ombre. « J’ai appris qu’il y a beaucoup à gagner dans le silence, à travailler un peu plus fort en coulisses, à moins parler dans les médias et même sur les réseaux sociaux », a déclaré Mokwena.

Sa présence publique s’est nettement réduite, un changement qu’il attribue autant aux circonstances qu’à une nouvelle philosophie personnelle. « Vous entendez bien moins parler de moi que ce n’était probablement le cas en Afrique du Sud. Peut-être parce que je participais à de nombreuses conférences de presse, et que c’était obligatoire. Aujourd’hui, je préfère prendre du recul et laisser mon travail parler de lui-même. C’est quelque chose que j’ai appris sur moi : je n’ai pas toujours besoin de m’exprimer, de me défendre ou de me concentrer sur des choses qui ne m’apporteront rien. »