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·28 janvier 2023
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·28 janvier 2023
À peine arrivé au VAFC, Salim Ben Seghir est bien présent dans le groupe de Nicolas Rabuel pour le match face au FC Metz. Le jeune joueur prêté par l’Olympique de Marseille revient sur ses premières impressions dans le Nord. Entretien.
Je suis arrivé tard dans la nuit hier. Je viens de faire mon premier entraînement et je trouve que c’est un bon groupe, assez jeune, avec une bonne ambiance. On a bien travaillé, on a bien préparé le match
Juste de nom mais pas personnellement.
Bien sûr, on ne peut qu’apprendre aux côtés de joueurs comme ça. On va communiquer, il va me donner des conseils, je vais aller lui en demander et c’est ce qui va m’aider à progresser. Ca fait partie de l’apprentissage et je pense qu’en tant qu’anciens, c’est aussi leur job de transmettre leurs connaissances et expériences aux plus jeunes.
C’est le coach qui va le décider. Je suis apte à être dans le groupe et à participer à la rencontre. Malgré mon manque de temps de jeu, je suis quand même en forme, j’ai du rythme et j’espère pouvoir jouer. Je viens pour jouer en Ligue 2.
C’est comme partout, je dois gagner ma place. C’est rare de promettre du temps de jeu, sauf si on est un joueur plus confirmé. En tant que jeune joueur, je veux simplement avoir ma chance et après, ce sera à moi de la saisir, d’être performant, pour pouvoir jouer au maximum.
Il faut savoir sortir de sa zone de confort. Je pense que c’est le meilleur à faire pour pouvoir me développer. Je viens ici pour me challenger et passer un cap.
On se parle souvent, on s’appelle régulièrement, en plus ce week-end il joue contre Marseille ! On se motive tous les deux. Il n’y a aucune jalousie entre nous, on se pousse tous les deux et c’est ça qui est bien.
J’ai des modèles mais je m’inspire de tout le monde, j’apprends de tout le monde, même à l’entraînement, que ce soit des plus anciens comme des plus jeunes. A Marseille, il y a des grands joueurs à mon poste comme Dimitri Payet, Amine Harit, Cengiz Ünder, Alexis Sanchez. Je m’inspire d’eux, je suis à leur écoute, ils me parlent beaucoup.
Propos recueillis par Clément Rossi avec Adrien Rocher