Sporting - OM : les Tops et les Flops ! | OneFootball

Découvrez les Tops et les Flops de ce choc de Ligue des Champions entre le Sporting Portugal et l'Olympique de Marseille !

Un choc pour se placer dans la course à la qualification ! Ce soir, l'Olympique de Marseille se déplaçait sur la pelouse du Sporting Portugal pour le compte de la troisième journée de la phase de ligue. Un duel entre deux équipe comptant trois points au classement. Après cette belle affiche, découvrez les Tops et les Flops.

Les Tops

Geronimo Rulli : même si son équipe a vécu une seconde période difficile à subir les assauts du Sporting, l'Argentin a pendant longtemps repoussé les assauts adverses. Et malheureusement, c'est son arrière garde qui lui joue des tours avec un but contre son camp et une erreur d'alignement. Rageant.

Geny Catamo : entré en jeu en seconde période, il a foutu le feu dans l'arrière garde marseillaise sur tous les ballons possibles. C'est aussi lui qui profite du mauvais alignement de Benjamin Pavard pour relancer son équipe en ne tremblant pas pour égaliser en duel face à Geronimo Rulli.

Rui Borges : après une première mi-temps galère, il a parfaitement su gérer l'avantage numérique et ses changements ont été payants. Catamo et Santos, tous les deux entrés en jeu en seconde période, ont permis aux Sporting de décrocher un précieux succès. Son homologue De Zerbi a surement voulu la jouer trop défensif.

Les Flops

Emerson : en simulant de façon ridicule pour tenter d'obtenir un penalty juste avant la mi-temps, il a tiré une balle dans le pied de son équipe qui s'est retrouvée à 10 pour la seconde période. Avec une VAR en place depuis des années, un joueur avec une telle expérience ne peut pas se faire avoir comme cela.

Benjamin Pavard : on attend des cadres de l'Olympique de Marseille de savoir se montrer décisif dans ce genre de match, encore plus quand l'équipe se retrouve à 10 contre 11. Mais Benjamin Pavard s'est raté. Le défenseur couvre sur le premier but du Sporting avant de contrer la balle contre son camp sur le 2e but.

Roberto de Zerbi : même en infériorité numérique, son équipe avait surement de quoi faire pour ramener un résultat du Sporting. Mais l'Italien a voulu la jouer trop défensive. Et à force de reculer et subir sans jamais tenter à retrouver un peu d'orgueil, son équipe a logiquement craqué ce soir.

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