Thibaut : "J'ai transmis ma passion de l'AS Monaco à mes enfants" | OneFootball

Pour mettre en lumière les supporters de l’AS Monaco qui portent les Rouge et Blanc dans leur cœur, la série qui leur est dédiée se poursuit. Pour le 10e épisode de la saison, pars en Bourgogne à la rencontre de Thibaut.

C’est une passion devenue familiale ! Tombé amoureux du Club en 1996, notamment grâce à Fabien Barthez, Thibaut, directeur d’agence bancaire âgé de 39 ans et membre des Munegu Burgundy, sera en effet présent avec son fils dans le parcage à Auxerre ce dimanche à l’occasion du 32e de finale de Coupe de France (14h45). Habitant d’Andelot, il viendra ainsi pousser les Rouge et Blanc à décrocher la qualification. Interview 🎙️

Bonjour Thibaut. Depuis combien de temps et pour quelles raisons supportes-tu l’AS Monaco ?

Je suis supporter de l’AS Monaco depuis la saison 1996-1997. J’avais une dizaine d’années, c’était les prémices de la Coupe du Monde 1998 avec les internationaux tricolores tels que Fabien Barthez, Thierry Henry, David Trezeguet, sans oublier un joueur comme Enzo Scifo et les autres. Cette période-là m’a vraiment marquée !

Tu es de Bourgogne, cela ne doit pas être courant de supporter le Club dans le coin ?

J’habite à la limite de la Bourgogne, donc le déplacement à Auxerre c’est le plus proche de chez moi. Mais pour donner un exemple, aujourd’hui dans l’entreprise dans laquelle je travaille, on est quelques-uns à pouvoir se retrouver dans le même département et à être pour l’AS Monaco. Et puis après, il y a aussi cette antenne des Munegu Burgundy qui permet de ne pas se sentir seul. J’en profite pour passer un petit message au président qui organise toujours parfaitement nos déplacements… MERCI !

Le plus marquant pour moi reste évidemment celui à Bodø/Glimt (succès 0-1) cette année, parce que je ne sais pas si on retournera un jour en Norvège ! Quand le tirage a été fait, on s'est dit qu'il fallait absolument qu'on y aille pour vivre cette expérience-là. (...) On a eu un temps catastrophique tout le long du match, avec de la pluie qui nous a accompagnés du début à la fin, mais la cohésion avec les groupes de supporters était incroyable ! De plus, nous avons été bien accueillis là-bas par les supporters norvégiens, c'était superbe !

En parlant de déplacements, en fais-tu souvent ?

De plus en plus ces deux dernières années. Depuis que j’ai rejoint les Munegu Burgundy, on essaie de faire deux à trois déplacements par an, notamment en Ligue des Champions. Le dernier que j’ai fait par exemple, c’est celui au stade Vélodrome à Marseille dimanche dernier, avant d’aller à Auxerre à l’occasion de la Coupe de France ce week-end. Sur les matchs européens, on a fait le déplacement à Arsenal l’an dernier ainsi que celui à Milan également.

Y’en a-t-il un qui t’a marqué plus que les autres ?

Le plus marquant pour moi reste évidemment celui à Bodø/Glimt (succès 0-1) cette année, parce que je ne sais pas si on retournera un jour en Norvège ! Quand le tirage a été fait, on s’est dit qu’il fallait absolument qu’on y aille pour vivre cette expérience-là. Des déplacements comme ça, si loin, avec ces conditions, on ne les fera pas forcément deux fois. On a eu un temps catastrophique tout le long du match, avec de la pluie qui nous a accompagnés du début à la fin, mais la cohésion avec les groupes de supporters était incroyable ! De plus, nous avons été bien accueillis là-bas par les supporters norvégiens, c’était superbe !