Une guerre Yamal - Carvajal en Espagne, le sélectionneur balance ! | OneFootball

Luis de la Fuente, le sélectionneur de l'Espagne, est revenu sur la grosse embrouille entre Lamine Yamal et Dani Carvajal, et les possibles conséquences entre sélection.

L’équipe d’Espagne avance vers ses prochains rendez-vous internationaux avec une l'envie de décrocher le plus rapidement possible son billet vers la Coupe du monde. Et dans cette bataille serrée, tous les regards se tournent vers un jeune talent qui fait déjà beaucoup parler de lui. Lamine Yamal, 18 ans, le génie Barça, revient en sélection dans un moment où questions physiques et pression médiatique se croisent comme rarement.

Car si certains s’interrogeaient sur sa convocation, notamment à cause de ses gênes au pubis, Luis de la Fuente n’a pas tremblé au moment d’annoncer sa liste. Le sélectionneur assume, revendique et protège. Selon lui, la réponse est sur le terrain, et elle était visible lors du récent match de Ligue des champions du Barça : Yamal va mieux, et il est de nouveau capable de peser.

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"Ce qui se passe dans leurs clubs... "

"La réponse est évidente en voyant le match contre Bruges. Il est en parfaite condition et son entraîneur a dit qu’il était apte. Il récupère son meilleur niveau. Nous jouons énormément et nous devons avoir les meilleurs pour nous qualifier pour le Mondial", a-t-il expliqué en conférence de presse, sûr de son choix.

Au-delà de la forme sportive, De la Fuente insiste sur l’accompagnement. Pas de polémique retenue, pas de rancœur autour du duel électrique avec Dani Carvajal lors du dernier Clásico. Pour lui, ce sont des histoires de clubs, rien de plus. "Ici, nous formons une grande famille. Ce sont des processus naturels, il a 18 ans, il est en pleine maturité humaine et footballistique. Il faut l’accompagner. C’est la responsabilité de tous". Une manière de rappeler que si l’Espagne mise sur les jeunes, elle veille surtout à les guider.

Il est d'ailleurs revenu sur cette embrouille entre Yamal et Carvajal : "Ici, nous parlons de tout en toute franchise. C'est un privilège de diriger ces footballeurs. Je garde en mémoire l'image de Lamine embrassant Dani lors du match contre la Croatie à l'Euro. Ce qui se passe dans leurs clubs... Ici, nous formons une grande famille, nous sommes soudés et il n'y a pas de problèmes". Le message a le mérite d'être clair.

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