Le Journal du Real
·24 novembre 2025
Vers un point de non-retour entre Xabi Alonso et ses joueurs ?

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·24 novembre 2025

L’incendie couve à Valdebebas. Tenu en échec sur le terrain d’Elche ce dimanche, Xabi Alonso fait face à sa première crise de résultats sur le banc du Real Madrid. Trois rencontres de rang sans victoire, et voilà que les dissensions internes menacent de faire exploser le vestiaire.
Comme indiqué par « Le Journal du Real » le 10 novembre dernier, le coach basque n’a plus la mainmise sur l’intégralité de son groupe. Après cette nouvelle contre-performance, marquée par un XI expérimental et une entrée très décevante de certains cadres, la pression autour d’Alonso continue d’augmenter. Au point que d’autres ténors du vestiaire souhaitent se greffer au mouvement de rébellion, révèle le journaliste espagnol Jorge Picon.
Con mayor o menor grado de culpa del entrenador, la situación de Xabi Alonso empieza a ser insostenible. Hay varios jugadores (más de los que la gente piensa) que quieren un cambio. Y voces importantes en los despachos que empiezan a verlo necesario. Cóctel explosivo.
D’après Jorge Picon, nombre de joueurs désirent que l’état-major du Real Madrid trouve un remplaçant à Xabi Alonso. Outre les cas Vinicius Jr, Bellingham et Valverde, abondamment relayés dans la presse ces dernières semaines, d’autres membres du vestiaire auraient perdu confiance en Alonso. De quoi semer la discorde à Valdebebas.
Pire encore, toujours selon le journaliste espagnol, des « voix importantes » au sein de la direction envisagent un changement à la tête de l’équipe première. Un désaveu spectaculaire pour celui qui n’occupe ses fonctions que depuis six mois. Cette information fait écho aux propos du journaliste indépendant Romain Molina, pour qui Florentino Pérez « ne tient plus son club ».
Si d’aventure le Real Madrid venait à ne pas s’imposer sur la pelouse de l’Olympiakos, ce mercredi en Ligue des champions, il est possible que Xabi Alonso subisse une fronde d’envergure en interne. En attendant, le technicien merengue essuie la foudre médiatique et se réfugie dans le travail. Mais son président, dont le premier choix pour remplacer Ancelotti n’était pas Alonso, pourrait s’impatienter face à tant de tintamarre. De là à exaucer le voeu de ceux qui lui susurrent de limoger le Basque ?
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