Augusto Palacios donne un conseil important à Bafana Bafana concernant les qualifications pour la Coupe du monde ! | OneFootball

Augusto Palacios donne un conseil important à Bafana Bafana concernant les qualifications pour la Coupe du monde !

Alors que le rêve de la Coupe du monde de la FIFA 2026 ne tient plus qu’à un fil, une voix d’expérience s’élève au-dessus du vacarme des calculs et des permutations. Augusto Palacios, l’ancien sélectionneur national, a délivré un message simple mais puissant à l’actuelle équipe des Bafana Bafana : leur destin est entre leurs propres mains, pas dans les résultats des autres.

Alors que l’équipe sud-africaine se prépare pour ses deux derniers matchs de qualification — une rencontre à domicile contre le Zimbabwe au stade Moses Mabhida, suivie d’un affrontement décisif contre le Rwanda à Mbombela — Palacios prône un état d’esprit de concentration absolue. Selon lui, l’équipe doit ignorer le bruit de fond lié aux affrontements simultanés du Bénin et du Nigeria dans le groupe C et canaliser toute son énergie sur l’unique chose qu’elle peut maîtriser : gagner.

Malgré la récente menace d’une sanction de la FIFA, la voie vers la qualification reste limpide. L’équation est simple mais exigeante : remporter les deux matchs et laisser le reste du classement s’éclaircir tout seul. La confiance de Palacios envers l’équipe est inébranlable, fondée sur la qualité des joueurs et le leadership de l’entraîneur Hugo Broos.

« Nous avons un bon bilan et de bons joueurs. Tout ce que nous avons à faire, c’est suivre ce que [Hugo] Broos a dit. Entrer sur le terrain et gagner les matchs. C’est tout, c’est tout. Nous ne devons pas penser au Bénin et au Nigeria. Nous devons juste nous concentrer sur la victoire. Avons-nous les capacités ? Oui. Avons-nous des joueurs de qualité ? Oui. »

Il réserve d’ailleurs des éloges particuliers à Broos, mettant en avant un principe fondamental qui a renforcé l’équipe : la méritocratie.

« Ce qui est important avec cet entraîneur, c’est qu’il sélectionne selon la performance. Nous ne devrions jamais douter de la performance. »

Mais au-delà des tactiques et de la concentration, Palacios, puisant dans la riche histoire de ce tournoi mondial, rappelle aux joueurs le prix immortel qui les attend. Il décrit la Coupe du monde non seulement comme une compétition, mais comme l’apogée émotionnelle et professionnelle de tout footballeur.

« Dans le football, il y a trois rêves : gagner son championnat en club, jouer en Europe, et le plus grand de tous, représenter son pays à la Coupe du monde. La Coupe du monde, c’est le plus haut niveau. Le monde entier vous regarde. C’est très émouvant d’y être. »

Un rappel que les deux prochains matchs ne sont pas seulement un défi tactique, mais aussi une porte d’entrée vers la légende.