Jean-Christophe Thouvenel : “Ce qui me fait venir à Bordeaux, c’est Didier Couécou” | OneFootball

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·29 September 2025

Jean-Christophe Thouvenel : “Ce qui me fait venir à Bordeaux, c’est Didier Couécou”

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Dans Le Podcast des Légendes, l’ancien latéral droit des Girondins de Bordeaux, Jean-Christophe Thouvenel, a expliqué quand son changement de poste est intervenu, lui qui est au départ un avant-centre. Ce fut au Paris FC.

« Je pouvais jouer au milieu, latéral, devant, dans les couloirs, à tous les postes… Et on me propose le Paris FC, mais pour jouer latéral droit. Allons-y… Je n’avais jamais joué latéral droit (rires). Ça n’existe plus ça ! J’ai quasiment joué tous les matches ».

Comment il s’y est fait, à son nouveau poste ?


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« Sans problème ! Avec de la bonne volonté je me suis parfaitement adapté. J’ai bien compris comment ça fonctionnait. Avec des défauts bien sûr quand on est repositionné latéral alors qu’on jouait attaquant… des défauts de position, etc. Mais là aussi, l’entraineur a été très bien. Et j’avais des qualités autres. Malheureusement, on tombe en barrages ».

Au final, à ce nouveau poste, il marque trois buts dans la saison, dont un contre Bordeaux… Est-ce que cela a joué selon lui sur sa signature aux Girondins, qui est intervenue ensuite ?

« Ce qui me fait venir à Bordeaux, c’est Didier Couécou. Il était aussi un peu avant-gardiste dans le métier. Par exemple, Bernard Lacombe, quand il est parti à Lyon avec Jean-Michel Aulas, il est parti en s’inspirant de ce que Didier Couécou avait fait avec Claude Bez. Didier venait d’arriver, il a appelé mon père en disant qu’il était intéressé, mais qu’il fallait que je vienne faire un essai. Aucun problème. J’avais ça en moi, je croyais en mes capacités à ce moment-là. Donc j’ai pris l’avion, je suis arrivé, et à cette époque-là c’était Luis Carniglia qui était entraineur. Je fais un essai. Au départ, je devais rester 15 jours, et au bout de trois jours, Didier me fait venir et me dit ‘tu restes, il n’y a aucun problème, on a vu avec ton Président, on est tombés d’accord, on paye l’indemnité qu’il demande (250000 francs suisses), et on te fait signer trois ans’. Je gagnais mieux ma vie qu’au Servette, donc pour moi c’était une progression, et à cette époque on n’était pas dans la surenchère. On était contents de pouvoir vivre de son sport ».

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