Le Barça rêve de Julián Álvarez, qui chauffe déjà les supporters | OneFootball

La pépite argentine de l’Atlético participait à un petit jeu pour une chaine de télévision en Angleterre et en a profité pour afficher son admiration pour le club catalan et les joueurs qui s’y sont illustrés. De quoi relancer les spéculations sur un possible départ vers la Catalogne après le Mondial 2026.

Brillant champion du monde avec l’Argentine, exilé un temps dans la grisaille de l’Angleterre à Manchester City, Julián Álvarez illumine les matchs de l’Atlético Madrid cette saison. S’il s’impose petit à petit au Wanda Metropolitano, il n’en reste pas moins scruté ailleurs et particulièrement du côté du FC Barcelone.

Julián Álvarez ne cache pas son admiration pour le Barça

La dernière apparition public du crack argentin a d’ailleurs relancés les spéculations d’un avenir possible en Catalogne. Invité par ESPN UK sur ses réseaux sociaux à se prêter à un jeu amusant, l’Argentin devait choisir ses joueurs favoris dans différentes catégories. Le résultat est sans équivoque et devrait faire plaisir aux «Culés» du Barça : son cœur penche pour les Blaugrana. Sans surprise, Messi a été son choix le plus évident et le plus répété, désigné comme meilleur finisseur, meilleur joueur de tous les temps et légende ultime de la Liga. Le champion du monde a ensuite cité Andrés Iniesta comme meilleur meneur de jeu et Neymar comme maître du dribble. Une domination totale du Barça à tel point que certains y voient une déclaration d’amour à demi-mot au club catalan. Dans son onze de prédilection, Julián Álvarez n’a pas oublié ses racines argentines. Romero a été placé en tête parmi les défenseurs, Emiliano Martínez chez les gardiens, tandis qu’il a tenu à souligner l’importance de son coéquipier madrilène Antoine Griezmann, qu’il considère comme le joueur doté de l’aura la plus marquante.

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Recruter Alvarez ne sera pas facile

Si le rêve est permis, la réalité est autrement plus complexe. Plusieurs obstacles rendent pour l’instant le dossier presque impossible à boucler. D’abord, la clause libératoire astronomique fixée à 490 millions d’euros par l’Atlético, qui verrouille à double tours son joyau. Ensuite, les difficultés financières persistantes du Barça, toujours limité dans ses marges de manœuvre et incapable, en l’état, de s’aligner sur des montants aussi vertigineux. Conscient de l’agitation que son nom provoque, Julián Álvarez a récemment préféré calmer le jeu. «Les gens parlent toujours. Ma concentration est de m’améliorer chaque jour et de gagner ici à l’Atlético», a-t-il répondu face aux rumeurs. Une mise au point claire, qui n’empêche pas le Barça de garder un œil attentif sur lui tant la vérité d’aujourd’hui n’est pas celle du lendemain dans la machine infernale des transferts.

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